(FIC) Phantomhive's life!

Chapitre 1: De petite étudiante à domestique.

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La professeure prit la cloche de vache sur son bureau, et elle l'agita, signifiant que les cours étaient finit, réveillant au passage une jeune fille qui s'était endormit sur son bureau. Les élèves ne firent pas attention à elle, et ils sortirent de la classe. Quelquesuns qui voulaient s'amuser, bousculèrent la jeune fille, et elle se réveilla pour de bon, tombant de sa chaise. En réalités, cette fille c'est moi, Gabrielle McGuil. Je suis une gamine de 14 ans qui semble en avoir 12 ans cause de ma petite taille. Et les élèves en profitent pour me martyriser. Mais ça me fait rien que les autres pensent que je suis qu'une bonne a rien, t'en que je ne suis pas comme eux, je suis heureuse comme un chat avec le ventre plein!! Bon!! Il est temps d'aller a la maison!! Je me levai et je sorties de l'école. Me dirigeant vers la maison.

En chemin, je croisai le regard d'un chat noir. Il avait les yeux couleur thé, et le regard tellement perçant que j'eu l'impression qu'il avait une conscience. Il partie dans le parc du cartier, et je le suivis des yeux. Sans m'en rendre compte, mes jambes avait commencé a bouger, et ce faisant, je suivis le chat. Il me guida vers les balançoires du parc, il sauta sur le rebord d'une poubelle et il me fixa. On se regarda longtemps jusqu'au moment ou des gens de ma classe firent un cercle autour de moi. A ce moment-la, je pis me libérer de l'emprise que le chat exerçait sur moi, et je regardai les élèves que je connaissais très bien.
Élève 1: Gabrielle! Comme c'est étrange de te voir ici!! D'habitude tu rentre chez toi tranquillement! Je peux savoir ce qui t'emmène ici?
Gabrielle: je... J'ai suivis un chat, c'est tout.
Élève 2: quel chat?? On ne voit aucun chat ici!
Gabrielle: regardez, sur la poubelle, il est la.
Je pointai la poubelle du doigt, mais le chat avait disparut. Je regardai aux alentours, affolée, mais le chat avait bel et bien disparut. Les autres éclatèrent de rire et un des élèves plaqua main sur ma tête, me faisant faire une grimace de douleur.
Élève 1: *sa main toujours sur ma tête* ma pauvre Gabrielle, tu délire!
Gabrielle: mais non! Je vous jure que j'ai vus un chat! Il était la il y a deux secondes! Il a eut s'en aller!
Élève 3: possible, en te voyant il a eu peur!
Non.
Élève 4: tu es tellement bizarre qu'il s'est dit que t'étais certainement un monstre!
C'est faux.
Élève 5: et il s'est enfuit!
C'est impossible.
Élève 6: le pauvre, il a du avoir la peur de sa vie!
Vous mentez.
Élève 7: qu'est-ce t'en pense, Dave?
Arrêtez...
Dave (eleve1): oui, t'es tellement étrange, que même le diable ne veut pas de toi!
Gabrielle: la ferme...
Dave: qu'est-ce t'as dis? J'ai mal compris.
Gabrielle: j'ai dis de vous la fermer! Vous êtes sourds ou quoi!?
Dave: espèce de sale...
Il s'apprêta a me frapper, mais je lui en empêcha en lui donnant un coups de pied dans le ventre. Il grimaça de douleur et de surprise, et il s'effondra a terre. Les autres élèves, qui était plus que surpris de mon geste, restèrent un instant sans rien faire et a regarder leur camarade a terre, qui se plia de douleur. Puis ils reprirent leur esprit, et ils voulurent m'assainer un coup, mais je sautai sur l'épaule d'un élève et je ne propulsai en arrière du regroupement d'idiots qui ne savaient même pas se battre correctement. Je leur fis un signe de la main, et je courus hors du parc. Je courues longtemps. Jusqu'a temps que j'arrive devant un bâtiment abandonné, et j’entrai dedans en poussant la lourde porte en bois moisi. Je monta les marches à pas de courses, et a chaque fois que mon pied se posa sur le vieux bois, la marche craqua et courba dangereusement. Mais je suis habituer d'aller ici, c'est comme un peu ma deuxième maison. N'arrivez finalement sur le toit du bâtiment et j'e m'approchas du bord. Je respiras a pleins poumon l'air de la ville, et je m'appuyas contre le rebord et bois. Je contemplai le paysage, jusqu'au moment ou...

Je me retournai vivement faisant face à l'intrus qui s'était glissé derrière moi. Il était a moins de deux mètres de moi et il me regardait avec un sourire satisfait sur les lèvres. C'était un homme, dans la vingtaine, il a les cheveux noirs charbons, les yeux d'une couleur de thé et malicieux, et il est entièrement habiller de noir. Je le regardai, méfiante, et je reculai d'un pas, pour être sur d'être a une bonne distance de lui.
Lui: fais attention pour ne pas tomber. Ce serait du gâchis.
Gabrielle: de quoi vous parlez?
Lui: je t'ai vues t'échapper des autres enfants tout a l'heure, et tu es vraiment douée.
Gabrielle: en quoi ça vous concerne?
Lui: tu as un talent grandiose, et ce serait dommage de ne pas pouvoir l'exploiter.
Exploiter mon talent? Mais quel talent? Et de toute manière, comment on pourrait faire exploiter mon "talent"?
Gabrielle: quel talent vous parlez? Et comment vous pouvez exploiter ce talent?
Lui: tu commences à êtres intéressée? C'est bien. Hey bien c'est simple, dans le manoir de mon maitre on a besoin de domestiques et...
Gabrielle: attendez, vous dites que vous pouvez exploiter mon talent, et ensuite vous me proposez de travailler pour votre maitre? En quoi tout ça a rapport?
Lui: il ne faut jamais interrompre les gens quand ils parlent, sinon tu risque de manquer des informations importantes.
Gabrielle: mais j'aimerais savoir quel est le lien entre les deux!
Lui: ça vient, ça vient, ne sois pas impatiente. Au manoir de mon maitre, on ne choisit pas n'importe quels servants, on choisit ceux qui sont dotés d'une force incroyable pour pouvoir protéger le manoir.
Gabrielle: je vois. Et vous avez " besoin" du talent que j'ai pour protéger le manoir de votre maitre. Et je peux savoir le nom de votre maire et votre nom aussi?
Lui: bien sur. Le nom de mon cher maitre est Ciel Phantomhive. Et mon nom est Sebastian Michaelis. Et le tiens?
Gabrielle: heu... Gabrielle McGuil.
Ciel Phantomhive... Le dirigeant de la célèbre compagnie de jouet Phantom! Je suis aux anges! Il veut que je devienne l'une de ses servantes! Même si ce n'est pas gros vu comme ça, c'est tout un honneur pour moi! Et je pourrai certainement quitter cette école de singlé! Mais il y a qu'un seul problème...
Sebastian: tu sembles être satisfaite de mon offre. Tu accepte?
Gabrielle: mais... Je ne peux pas. Il faudra que j'en parle a mes parents.
Sebastian: parle-leur. Je t'attendrai ici demain après tes cours pour savoir la réponse.
Gabrielle: d'accord, j'y serai. A demain.
Sebastian: oui, sois a l'heure surtout.
Gabrielle: oui.
Je descendis du bâtiment, et je retournai chez moi a la course, impatiente de savoir si mes parents vont accepter. J’entrai dans la maison avec un grand fracas, je laissai tomber mon sac d'école a terre, j’enlevai mes chaussures a la hâte et je courrai jusque dans la cuisine et inerme plantas devant ma mère et je la regardai dans les yeux avec un grand sourire charmeur sur les lèvres.
Mère: qu'y a-t'il pour que tu sourisses attend que ça?
Gabrielle: tu me croiras peut-être pas, mais le majordome de la maison Phantomhive est venu me voir après les cours pour que je travail dans le manoir des Phantomhive!
Mère: mais voyons ma chérie, d'où est-que tu sors ça? Ils n'ont pas besoins d'une petite fille comme toi.
Gabrielle: mais c'est vrai maman! Son majordome s'appel Sebastian Michaelis et il est venu me voir! S'il te plait, crois-moi!
Elle réfléchissa un peu.
Mère: bon écoutes ma chérie, ton père et moi allons en parler ce soir, et demain nous te dirons si tu peux aller travailler là-bas. Compris?
Gabrielle: d'accord! Merci d'avance!
J’allai dans ma chambre étudier jusqu'à l'heure du souper. Je descendis les escaliers en sautant 4 marches, lorsque ma mère m'appela pour souper. Je mangeai avec beaucoup d'appétits et je desservies la tables au complet quand j'eus finis, et je lavai toute la vaisselle puis je les rangeai. Je montas dans ma chambre pour continuer a étudier, et je finis par m'endormir, la tête dans mon cahier de math.

Le lendemain matin...

Mère: *de la cuisine* Gabrielle! Réveille-toi!
Gabrielle: *à moitié morte* moooouuuuiiiiiiii maman...
Je levai la tête du bureau et je regardas aux alentours. Ma chambre. Mes cahiers d'école. Mon bureau. Grblnmtlpfbme... C'était un rêve? J'ai rêvé que le majordome de la maison Phantomhive était venu me voir sur le toit de la maison abandonnée pour que je travail au manoir. Ça aurait été bien que se soit vrai... Je pris ma robe d'école, qui est bleu foncé qui tombe jusqu'à mes genou, et que les bretelles arrives jusqu'à mes poignets. Je descendis les escaliers et j’arrivai dans la cuisine.
Gabrielle: Bonjour m'man.
Mère: Bon matin Gabi!
Elle me donna mon déjeuner, qui est des œufs et des pains grillés et je commençai à manger.
Mère: Ton père et moi avons discuté pour ton boulot au manoir Phantomhive.
Je faillis m'étouffer avec mon œuf. Ce n'était pas un rêve!! Youhou!!
Gabrielle: Alors?? Alors??
Mère: Nous acceptons que tu y travaille.
Je me levai de ma chaise, ce qui la fit tomber au sol et sautas et crias de joies.
Mère: mais à une seule condition; que tu continues à étudier là-bas
Gabrielle: pas de problème m'man!
Je montai dans ma chambre, sans avoir finis mon déjeuner, je pris mes cahiers d'écoles et je descendis en bas. Je mis mes souliers, je fis une dernière bise à mes parents, et je parties pour l'école.

A l'école...

J’entrai dans la classe, et je m'assis à ma place. Contrairement à d'habitude, je n’arrêtai pas de gigoter, et à placer ma chaise sur deux pattes. Je restai sur deux pattes et à me balancer un moment, mais quelqu'un me poussas pour que la chaise revienne sur quatre pattes, et une paire de main se plaqua sur mon bureau.
Dave: Tu as bien joué de nous hier, espèce de sale peste!
Gabrielle: Rooooh calmes-toi! Et puis c'est toi qui as commencé!
Je lui sourie sagement et il devint rouge de colère.
Dave: Tu te prends pour qui, sale gamine!
Gabrielle: Pour personne, ne t’inquiète.
Dave: Tss qu'est-ce qui te prends à sourire de la sorte?
Gabrielle : Rien, rien.
Je crois que c'est mieux que je ne lui dise rien. De toute manière il ne va pas me croire. La professeure nous disa d'aller nous asseoir à notre place, et Dave me lâcha à contrecœur, et il partit s'assoir à sa place. Le cours commença, et je me balançai sur ma chaise, ce qui fit que le prof me réprimanda quelque fois. Et finalement... Après attend de souffrance... La fin des cours!!! Ma dernière journée d'école de l'année et peut-être de la vie vient de se terminer!! Je courrai jusqu'à la vieille maison abandonnée, et je montai les escaliers 4 par 4. Arrivée en haut je vis messieurs Sebastian qui était assit sur le bord du bâtiment, et il regardait le ciel, dos a moi. J'éclaircis ma voix pour faire sentir ma présence, et il tourna sa tête vers moi. Il se leva et il marcha en ma direction.
Sebastian: tu as convaincus tes parents?
Gabrielle: oui, on peut y aller.
Sebastian: bien, suivez-moi, mademoiselle.
Il descendit les escaliers et je le suivis. J'en reviens toujours pas que je vais travailler dans le manoir des Phantomhive. J'ai des papillons dans le ventre, et ils n'ont qu'un désir; sortir pour être libre. On arriva en bas, et on sortit de la vieille baraque. Elle va me manquer...
Dave: c'est pour ça que tu étais pressée, tu as un rendez-vous avec ce mec.
Gabrielle: oh non Dave, laisse-moi tranquille, et je te jure que demain je ne vais pas être a l'école, donc t'auras la paix.
Dave: mmm... Disons une semaine.
Gabrielle: p-a-r-f-a-i-t!!
Dave: dans ce cas je te laisse tranquille, mais juste pour cette semaine.
Gabrielle: c'est bon pour moi.
Dave: à dans une semaine.
Gabrielle: mouais c'est ça.
Il partit enfin, me foutant la paix. Je soupirai longuement.
Sebastian: c'était un de tes amis?
Gabrielle: heu... Vous êtes fou? Jamais il sera mon ami!
Sebastian: oh pardon.
Gabrielle: heu... non... ça ne fait rien, vous ne le saviez pas.
On marcha un instant, et on s’arrêta devants une maison moyenne, il y avait un carrosse qui attendait devant l'immeuble. Tiens, cette maison, je passe souvent devant la journée. Et Dave et sa bande ont déjà brisé une vitre.
Sebastian: cette maison est la résidence de ville du comte
Phantomhive.
Gabrielle: quoi?? Pour vrai?? Pour dire que je passe devant chaque jour!!
Heu mais y a un truc qui cloche...
?: Sebastian! Tu as trouvé ce que tu cherchais?
Un indien venait de sortir de la résidence de ville des Phantomhive, suivit d'un autre indien. L'un était jeune, il ne devait pas dépasser les 16 ans, et il avait les cheveux foncés attachés avec un élastique couleur or. L'autre paraissait plus vieux, peut-être 18 ans, et il avait les cheveux plus pales. Le jeune venait de parler, et il avait l'air amusé que messieurs Sebastian soit la.
Sebastian: Oui, j'ai trouvé ce que je cherchais.
?: rooooh laisses-moi voir cette gamine!
Il s'avança vers moi et il se pencha pour mieux m'observer. Je rougies a cause qu'il me regardait tellement intensément.
??: voyons prince Soma, vous allez la gêner.
Soma: détends-toi Agni, cette gamine semble forte...malgré sa petite taille.
Je t'emmerde, connard!!
Gabrielle: ah merci... Prince Soma.
Heu... Lui, un prince?
Soma: mais de rien!
Sebastian: bon, je crois qu'on va devoir y aller. Merci pour tout, Agni, Soma.
Agni et Soma: ah mais de rien, tout le plaisir est pour nous.
Sebastian: *se tournant vers moi* je vais prendre ton sac, si tu me le permets.
Gabrielle: heu non non, c'est bon! C'est juste mon sac d'école! Je peux le transporter dans le carrosse! Aucun problème!
Sebastian: bien, puisque tout est prêt...
Il m'ouvrit la porte et il me tenditla main. Je montai sur une marche en lui prenant la main qu'il m'a tendu, et je le remercias d'un timide "merci". Lorsque je fus confortablement assise sur une banquette, avec mon sac d'école sur mes jambes, il ferma la porte et il monta en avant du carrosse pour conduire. Je me retrouvai seule dans la mini-pièce, et je décidas de mettre mon sac d'école a coter de moi. Le véhicule avança, lentement au début, puis il accéléra. Me voilà partie pour le manoir des Phantomhive!

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Voilà pour le premier chapitre!! Bon, pour l'image, c'est Gabrielle... Je sais, j'ai le GROS défaut de prendre les apparences de mes personnages inventés d'internet. Mais de toute manière, ça allait quand même ressembler à Alice (Alice au pays des merveilles, pas notre Alice) Mais pour les prochains chapitres, ce sera des images de Black Butler, puisque j,ai toujours eu l'habitude de mettre, comme image du premier chapitre, l'apparence du perso principal... Bon!! J,espère que le premier chapitre vous a plut!! (plut... plus... plu... plue.... ah et puis merde!!) Oh!! Et désolé pour les gros mots!![i]

Baka-mimi, ma chère Baka-mimi... Je ne peux rester un moment de plus à lire ta fic sans te faire part des choses qui me chagrinent...


- Ton chapitre est d'un seul bloc : c'est illisible !! Saute des lignes entre chaque paragraphe puor ton prochain chapitre, je t'en prie

- Pour les dialogues, bannis le style théâtrale !!! Je m'explique :
Style théâtrale :
Personne 1 : blablablablabla
Personne 2 : *étonnée* blablablabla...

Ca, tu l'oublis !! Tu le brûles, tu le rayes, tu le tronçonnes, tu le donnes à manger à ton chien ou ton chat, mais ne recommence plus ! Ce type de dialogue, c'est le mal !!

Voici le style de dialogue qu'il faut adopter :
"- blablablabla, dit personne 1.
- Blablablablabla" s'étonna personne 2.
Ca, c'est le bien

- J'ai remarqué que tu mettais souvent des virgules là où tu pouvais finir ta phrase et inversement. Je m'explique :
"La professeure prit la cloche de vache sur son bureau, et elle l'agita, signifiant que les cours étaient finit, réveillant au passage une jeune fille qui s'était endormit sur son bureau."
Je ne corrige pas totu de suite les fautes, j'y viens après...
Cette phrase, tu aurai pu la découper ainsi :
"Le professeur prit une cloche sur son bureau et l'agita, signe de la fin des cours. Le bruit clinquant de cette cloche réveilla une jeune fille, endormie sur son bureau."

Le lecteur comprend mieux, et tes phrases sont claires, précises et courtes

- Durant un dialogue, alice pense : tu ne met pas en valeur ses pensées. Pendant une minute je me susi demandée que venait faire ce "non" à la ligne en plein milieu du dialogue...
Quand tu veux retranscrire les pensées de ton personnage, utilise une mise en forme différente de ton texte (par exemple centré et italique). Evite de mettre de la couleur.

- Le gros morceau... Les fautes d'orthographes !!! Mon Dieu, je crois que je n'en ai jamais vu autant dans un paragraphe... Je sais que tu as du mal avec l'orthographe (comme Alice et un peu Cindy) mais, des fois, tu te contredis !

les exemples :
- a / à ; ou / où ; la / là : ce sont les plus réccurentes. Pour ce genre de problèmes, je vais voir à faire un topic spécial dans les fanfics concernant les règles d'orthographes, sois patiente.
- tu oublis certains mots, voire tu te trompe dans l'écriture du mot : "à cause de", "cartier" --> "quartier" (tu m'as fait rire avec celui-là d'ailleurs )
- tu utilises parfois des mots plus compliqués que tu ne maîtrise pas : "assainer un coup". Utilise des mots plus simples que tu connais : "porter un coup"
- des fautes de frappe, des oublis, des rajouts de "e" et "s"...
- Beaucoup de tes fautes sont des fautes de temps : tu ne maîtrise pas beaucoup les temps de la narration. Des fosi tu met de l'imparfait, des fois du conditionnel (il y a des mix des deux aussi) et j'en passe... Tiens-toi sur un temps (l'imparfait) et met tous tes verbes à ce temps. Ne te complique pas la vie

Et je ne me suis arrêtée seulement au passage où elle arrive sur le toit du bâtiment...


Bon après toutes ces remarques un peu (beaucoup) négatives sur la forme de ta fic, mon avis POSITIF sur ta fic :

J'aime bien l'historie finalement ! On s'attache vite au personnage d'Alice (sans doute dû à l'image que tu as mise). L'historie se déroule rapidement, tu ne t'éternise pas sur tel ou tel détail sans importance.
Je trouve que tu respectes assez bien le caractère des persos (Sebastian, calme et posé ; Soma et Agni, aussi fous l'un quel'autre...).

Si tu prends mes remarques en compte (et je sais qu'il y en a beaucoup), je pense que ce sera une très bonne fic

PS : en particulier, espace bien tes paragraphes, oublie le dialogue théâtrale et essaye de réduire tes fautes

PS 2 : J'aime bien que, pour la première rencontre entre Sebastian et Alice, mon majordome d'amour soit un chat

je reveisn juste sur le style théâtrale contesté par Lina. Ce style est fait pour le théâtre d'ou sont nom le Théatre c'est fait pour être joué on peut écrire une fic comme ca ( à moi d être un fainéant)

sinon j'ai pas lu ta fic désolé j'ignore tout de Black butter

Oui, on peut écrire une fic sur le style théâtrale (j'en ai lu de très bonnes dans ce style).

Mais là... non, non et non ! Je trouve que ça ne convient pas du tout à sa fic.
Je pense que ce style de dialogue est quand même ardu (comme pour le point de vue à la première personne). Il y en a que ce style d'écriture convient bien (exemple, la fic de Lygat est à la première personne et sa va très bien, style fluide et rapide), mais concernant le dialogue théâtrale, mieux vaut l'oublier quand on débute dans l'écriture des fanfics.

Je pense que Baka-Mimi débute et que pour elle, mieux vaut commencer au rang facile. Dès qu'elle saura maîtriser le style de dialogue que je lui ai proposé (sa se fera rapidement), elle pourra s'attaquer au style théâtral.

Ceci est mon avis.

mouais enfin pour un tragédien tel que moi cela reste un sacrilège


OMG j aime sortir c'est mot COMPLYQUAY

si tu vas sur des sites de fanfictions sérieux, beaucoup de lecteurs expérimentés n'aiment pas le style théâtral dans les fics, sauf si la fic elle-même est une pièce ou que le style correspond bien à l'histoire...

Mouais suis pas convaincu

Lina, pour les fautes d'orthographe comme a/à, e/é e/è (et aussi les autres), c'est parce ce que, des fois, j'écris ma fanfic sur le iFone à mon père. Et il n'y a pas de correcteur, mais quand je reviens sur l'ordi, je corrige le plus de fautes possibles. Mais sinon je suis contente que l'histoire te plaise.

je vais faire un effort pour les dialogues, et je vais essayer d'écrire avec cette sorte de dialogue (j,ai toujours écris mes fanfics avec le style théatrale... la flemmarde u__u) Mais puisque j'ai déja écris le chapitre deux, elle sera avec le style théatrale.

(J'ai des amies qui m'ont arcelé il y a un mois pour que je fasse cette fic... N'est-ce pas Coco, Mart-Mart!?!? è__é donc c'est pour ça que j'ai déssidé de la mettre sur le fofo, finalement u__u)

Eh ben, pour résumer, mon avis... Y en a pas ,j'ai pas tout lu.
J'ai même tellement peu lu que je ne peux pas te donner d'avis, sinon que les fautes de temps et de conjugaison surtout reviennent souvent.
Et je trouve le style théâtral plus simple, t'as pas à te faire chier à trouer des mots genre dit, annonça, répliqua, rétorqua, souffla, siffla, commença, continua, acheva, etc...
Et je préfère le passé simple à l'imparfait, mais je conçois qu'il soit plus difficile à conjuguer, surtout pour quelqu'un qui débute dans l'écriture et/ou qui a certaines lacunes en français.
Voilà voilà, 30 pages pour ne rien dire.

Je trouve ton histoire très bien mais je ne sais pas pourquoi mais elle me donne une impression de deja vus

mais sinon elle est cool et pas trop farfelu

ça se peut, il parait qu'il y a beaucoup de gens qui font des fanfics de Black Butler et que le perso principal est engagé dans le manoir des Phantomhive.

mais c'est la premiere fic que je lit de ma vie

bah là je comprends pas --"

ça n'as pas d'importance

ouais

Ha ok

euh mec lit un peu moi vite le style théâtrale je le reserve au théâtre et je le procris pour toutes les fics

On m'ouvre le champagne ?

Chapitre 2: Première journée, un maitre arrogant.

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Sebastian: bien, puisque tout est prêt...
Il m'ouvrit la porte et il me tendit la main. Je montas sur une marche en lui prenant la main qu'il m'a tendu, et je le remercias d'un timide "merci". Lorsque je fus confortablement assise sur une banquette, avec mon sac d'école sur mes jambes, il ferma la porte et il monta en avant du carrosse pour conduire. Je me retrouvas seule dans la mini-pièce, et je décidas de mettre mon sac d'école a coter de moi. Le véhicule avança, lentement au début, puis il accéléra. Me voilà partie pour le manoir des Phantomhive!

Le voyage fut long, mais plus qu'on avançait, plus que le paysage était magnifique. Le manoir des Phantomhive était dans le bois, loin de la ville. À vrai dire, je ne suis jamais sortie de la ville où je vis. Mes parents ont toujours dit qu'ils ne voyaient pas le besoin de partir d'un endroit, alors qu'on est déjà proche de tout. Le carrosse s'arrêta enfin, et monsieur Sebastian ouvrit la porte. Je me levas pris mon sac d'école et descendis du véhicule, et je fus aidée par le majordome. Lorsque je mis le pied à terre, j'entendis des voix venant du manoir.
?: regardez! Sebastian est revenu!
??: Ouais! Et pour dire qu'on a passé à un cheveu de bruler encore la maison!
?: Parle pour toi!
???: Les gars, arrêtez de vous chamailler!
? et ??: Mais May!
????: Vous voulez bien vous taire?! On s'entend même plus penser!
?, ?? et May: Pardon, maitre!
Quatre personnes sortirent de la baraque (qui est trop grosse!!), et ils s'avancèrent en notre direction. Il y avait 3 garçons, et une fille. La fille avait les cheveux brun-roux, attachés en deux couettes, et elle portait de grosses lunettes qui empêchaient de voir ses yeux et elle devait avoir 16 ans. L'un des garçons est grand, blond, avec d'étranges lunettes accrochées à son cou, et il est habillé en cuisinier et il doit avoir dans la trentaine. L'autre garçon semble être très jeune, il a les cheveux blonds, soutenus par des barrettes rouges, et il a les yeux bleus. Le dernier garçon, est petit, il a les cheveux noirs, son œil qu'on pouvait voir était bleu foncé, et son autre œil était caché par un bandeau de pirate. Le jeune garçon avec l'œil de pirate s'éclaircit la voix, et il me lança un regard froid, avant de lancer:
-Sébastian, cette gamine est celle don tu parlais, non?
Sébastian: Oui, maitre.
Heu... attendez... Vous voulez dire que le comte Ciel Phantomhive est un bambin de 12 ans?? Dans quel monde je me trouve?? Ciel me regarda de la tête aux pieds, et il soupira.
Ciel: Sebastian, tu es sur qu'elle est capable de faire quoi que ce soit? Elle n’est pas plus grande qu'un oisillon.
Pff! Eff! Gneeh! Raah! Il ne s’est pas vu! Je suis plus grande que lui! Ce gamin et le prince Soma doivent connaitre! Ils pensent la même chose de moi!
Ciel: j'aimerais bien voir ce don tu es capable, la petite. Sebastian! Relâche Pluton!
Sebastian: mais maitre, ne serais-ce pas trop demander pour cette enfant?
Ciel: c'est un ordre!
Monsieur Sebastian lâcha un petit soupir, en même temps de sourire, et il s'inclina en disant:
- Yes, my lord.
Il me fit signe de la tête de le suivre, et j'obéis. On marcha jusque dans la cours arrière, qui est très grande, et on s'arrêta devant la forêt. Je sentis qu'il y avait quelque chose proche, et je me mis sur mes gardes, mais j'essayas de ne pas trop faire paraitre que j'avais peur, car a chaque mouvement brusque que je faisais, Sebastian souriait. Vraiment, ici... C'est un endroit de fou! J'entendis un jappement sourd, venant de la forêt, puis une grande ombre se jeta sur moi. Je roulas sur la gauche, évitant de justesse l'attaque qui m'était destinée. Lorsque je me releva et que je regardas la bête, je me figeas comme une statut de pierre. L'ombre était un grand chien mesurant trois mètres de haut minimum, il avait le pelage gris foncé et épais, et ses yeux était de couleur rouge sang. Il fit un grognement lourd, et il montra ses dents.
Gabrielle: *me retournant vers Sebastian* heu... Monsieur Sebas...
Il avait disparut.
Je regarda aux alentours a la recherche du majordome en noir, mais je ne le vis nulle part. Je reportas le regard sur le chien géant, et monsieur Sebastian se tenait à ses coter.
Sebastian: Je te présente Pluton. Il est le chien de garde du manoir, et le comte Phantomhive désir voir tes habiletés en combats pour savoirs si tu peux oui ou non travailler ici. Et pour se faire, il va falloir que tu combattes Pluton, et que tu gagnes.
Gabrielle: heu, mais il est trop grand pour moi. Je ne pourrai jamais gagner...
Sebastian: pourtant tu dois essayer.
Gabrielle: bon, d'accord. Mais ce ne sera pas de ma faute si je me retrouve dans une tombe.
Le majordome s'éloigna, et je pue apercevoir un sourire aux coins de ses lèvres. Il alla rejoindre Ciel, qui était assit sur une chaise, et les autres employés, qui étaient debout, a coter de lui. Pluton jappa, pour que je me concentre sur le combat, et il me donna un coup de griffe. Je fis un salto arrière pour éviter ses griffes et j'atterris en un seul morceau. Il prit une grande inspiration, et il cracha du feu. Quoi?! Mais c'est un monstre, ce chien! Je sautas sur le coter, évitant à la millimètre près la boule de feu, mais une partit de ma robe fut touchée. J'atterris sur le ventre, et j'allas pour me relever, mais le chien m'écrasa avec sa patte droite. Mon souffle fut couper pendant un instant, et à la suite je respiras mal, à cause que la patte écrase mes poumons. Je cherchas à tâtons un objet qui pourrait me servir d'arme, et je touchas a quelque chose. J'étiras mon bras pour pouvoir saisir l'objet, et je réussis. J'apportas ma trouvaille plus près de moi pour voir ce que c'était, et je découvris que j'avais ramasser une branche d'arbre morte. Pfff ca ne sert à... Non. Ca a beau être un monstre, ça reste un chien. Je tendis le bâton à Pluton, et je l'agitas comme si c'était un jouet pour chien, et je dis, d'une voix enfantine et enjouée:
- Pitou!! Viens jouer avec Monsieur-Le-Bâton!!
Je lanças le morceau de bois aussi loin que je pouvais, et le chien lui, courut après comme un petit chiot après une balle. Je me relevas, et j'époussetas ma robe. Pluton revint avec la branche d'arbre, et il le déposa a mes pieds. Sa queue s'agitas de gauche a droite, et il sortit la langue. Je m'approchas de lui, et je flattas sa patte droite. À ma grande surprise, il se laissa faire, même qu'il me donna un coup de langue sur le visage. J'entendis des applaudissements venant des spectateurs, et je me retournas. Le comte s'était levé, et il m'applaudissait avec un sourire satisfait sur les lèvres.
Ciel: Hey bien! Je crois que tu as passée le test avec bravoure!
Gabrielle: Heu.. Mais je n'ai pas battus Pluton...
Ciel: Il y avait deux manières de gagner; soit que tu le battes, ou soit que tu gagne sa confiance.
Gabrielle: Ah, d'accord...
Vraiment, c'est vraiment bizarre... Chose à ne pas dire à maman: il a fallut que je combatte un chien géant pour que je puisse travailler ici, quitte à y laisser la vie. Sebastian me conduisit jusque dans ma chambre, me laissant au passage mon habit de bonne, qui était pareil comme celui de la jeune fille aux lunettes. Je l'essayas, et il me fit comme un gant! Je me regardas dans le miroir, et je me regardas de tous les angles. On dirait une vrai bonne! Même si j'en suis une! Hi hi! Je sortis de la chambre, prête pour travailler, et j'allas voir monsieur Sebastian, qui était dans la cuisine, en train de préparer un gâteau.
Gabrielle: Dites, monsieur Sebastian, est-ce que j'ai quelque chose à faire aujourd'hui?
Sebastian: Non, pour aujourd'hui, tu vas devoir te familiariser avec le manoir, pour que tu ne t'égare pas dans les prochains jours.
Gabrielle: Entendus, merci beaucoup.
Je me retiras, avec une révérence, et j'exploras le grand manoir. Je me sens comme dans un rêve. Être ici, dans le manoir des Phantomhive... C'est plus que magique. Et j’ai parlés avec Ciel Phantomhive, même si il est un gamin arrogant. J'arrivas dans le hall, et je remarquas qu'il y avait une surface du mur où il y avait les escaliers, qui était moins "abimé" que les autres endroits, comme si il y avait, auparavant, un tableau placé à cette endroit.
J'entendis un cri aigu venant des escaliers, suivit d'un grand bruit d’un objet qu'on échappe à terre. Alarmée, je montas les escaliers le plus vite que je pouvais, en tenant ma robe d'une main, pour pas m’enfarger dedans. Rendues en haut, je retrouvas la bonne de la maison assit à terre, avec un sceau d'eau renversé à ses cotés. Elle se m'déprisait de l'avoir fais renversée, et elle prit un linge qui était accroché à sa robe. Je m'avanças vers elle, et je me penchas en prenant mon linge sur ma robe. Je l'aidas à ramasser son dégât, et elle leva la tête et me regarda surprise.
Elle: Oh! Tu es la nouvelle! Merci beaucoup de m'aider, mais tu as surement d'autres choses à faire...
Gabrielle: Non non. Pour aujourd'hui, monsieur Sebastian veut que je me familiarise avec le manoir. Au fait, on ne s'est pas présentées, je m'appelle Gabrielle McGuil, et toi?
Elle: Moi c'est May Linn! Mais tu peux juste m'appeler May.
Gabrielle: Enchantée de faire ta connaissance, May.
Je lui tendis la main, et elle me la serra en me disant qu’elle était elle aussi enchantée de faire ma connaissance. On finit de ramasser le dégât d'eau, et on alla remplir le sceau dans la court arrière, en parlant de la manière don on a été recrutée au manoir. On s'assit sur le rebord de la fontaine pour mieux parler. May était, il y a un an, lorsqu'elle avait 15 ans, une tueuse à gage. Elle tuait des gens avec un fusil appelé Sniper, qui peut tirer à des kilomètres de la cible. Elle a une vue tellement bonne, qu'elle pouvait toucher la personne sans même avoir besoin de la lentille. Sebastian l'a recruté lorsqu’elle allait tuer sa cible, mais elle hésitait à cause qu'il y avait la femme du monsieur, et son enfant avec lui. Il avait profité de son moment d'inattention pour se faufiler derrière elle et lui parler de son offre, et elle avait accepté, trouvant meilleur de travailler dans un manoir et le protéger que de tuer des gens innocents. Son histoire me fascina. Jamais je n’aurais pensé qu'une femme de maison pouvait être dans le passé une tueuse à gage. Mais il y a quelque chose que je ne comprends pas...
Gabrielle: Et toi, ton test pour travailler ici, c'était quoi?
May: Je n'en ai pas eu... Et les garçons aussi. Tu es la seule à avoir passée un test d'entré.
Gabrielle: Quoi!? Je suis vraiment la seule que le comte n’a pas eu confiance d'engager!?
May: Oui. Je trouve ça étrange. Même avec Finnian il a eu confiance.
Gabrielle: Finnian? Le petit blond?
May: Oui! Ça ne parait pas, mais il a 15 ans.
Gabrielle: Pour vrai? Moi je lui donnerais 11.
May: Moi aussi, mais il est très mignon.
Gabrielle: Hey au fait. On est les deux seules filles du manoir. Il va falloir qu'on se serre les coudes!
May: Oui!
Gabrielle: *je me levas* Bon, il va falloir que j'y aille, si je ne veux pas que je me perdre pour les prochains jours. Courage, May-May!
May: Merci! Toi aussi, Gabi!
Elle se leva et elle alla dans le manoir, faire ce qu'elle avait à faire, et je me promenas dans le jardin. C'est un endroit très beau et très calme. Le comte doit surement passer beaucoup de temps ici, ça doit lui faire du bien, après autan d'heures enfermé dans son bureau à travailler comme un adulte. Je me demande s’il gère la compagnie Phantom tout seul. Surement, puisqu'il ne semble pas aimer être avec d'autres personnes.
Je senties le sol trembler, et j'entendis et vis un grand arbre tomber au sol. Je courras voir ce qui s'était passer et il y avait, a la place ou l'arbre s'est effondrer, Finnian et Pluton. Ils regardaient l'arbre avec agacement, et le jeune blond soupira, et il dit, agacé:
- Qu'est-ce qu'on va faire, Plu-Plu? Si Sebastian apprend qu'on a encore fait tomber un arbre, il va pas être content, crois-moi.
Le chien couina, et il se coucha sur le ventre, en se cachant les yeux avec ses pattes avant. Je m'avanças vers les deux fugitifs et je dis, plutôt intriguée:
- Dis, qu'est-ce qui s'est passé ici?
Il se retourna vers moi, affoler, et il me regarda avec des yeux de chien battu.
Finnian: Hey dis, tu ne le diras pas a Sebastian?
Gabrielle: en quoi ca va me rapporter de lui dire?
Finnian: heu... Je ne sais pas. Mais ne lui dis pas, d'accord??
Gabrielle: j'ai rien vues, rien entendues!
Finnian: oh merci! Tu me sauves la vie!
Gabrielle: de rien. Mais qu'est-ce qui s'est passé?
Il prit un air embarrassé, et il se gratta le derrière de la tête en regardant ailleurs.
Finnian: je jouais avec Pluton, et sa branche d'arbre avait atterrit dans les feuilles de cette arbre. En voulant prendre la branche en agitant l'arbre, bah... Il est tombé...
Gabrielle: la branche?
Finnian: non l'arbre!
Gabrielle: quoi!? Tu veux dire que t'as fais tomber l'arbre juste en l'agitant?
Finnian: bah oui, ca m'arrive souvent.
Gabrielle: ah... Tu dois avoir une très grande force...
Finnian: ça ne te fait pas peur?
Gabrielle: non, May a une super de bonne vue, donc ca ne m'étonne pas que t'aies un petit quelque chose de spécial. Surtout qu'ici, les domestiques doivent tous avoir des capacités surhumaines.
Finnian: oui... Hey! Je me présente! Je m'appel Finnian! Mais tu peux m'appeler Finny!
Gabrielle: je m'appelle Gabrielle McGuil. Mais t'as une idée au moins de comment faire disparètre les preuves de ton meurtre?
Finnian: bien sur! Regarde bien!
Il prit l'arbre par une des branches, il le souleva et il le lança plus loin.
Finnian: c'est fait! Plus de trace!
Gabrielle: *une goute d'eau derrière la tête* tu l'as juste envoyé plus loin...
Finnian: ouais, mais au moins y a plus de preuve ici!
Je fis a semblant de rire, mais a la longue, je finis par rire pour de vrai. Le jeune blond, qui ne comprenait pas pourquoi je riais, resta interdit, à me regarder pleurer de rire. Le chien, qui avait peur il y a deux minutes, jappa à chaque rire que je lâchais. Je finis par me calmer et j’essuyai les larmes qui perlaient à mes yeux, avec mon doigt.
Gabrielle: je ne veux pas te déranger plus longtemps, je vais continuer mon chemin.
Finnian: d'accord! À plus, Gab!
Gabrielle: À plus, Finny!
Je m'éloignas en lui faisant signe de la main, et lorsqu'on ne se vit plus, je la baissas et je marchas vers le manoir. Je re-rentras par la porte de l'arrière et je me promenas un peu partout. J'entendis une explosion venant de la cuisine, et je sursautas, ne m'attendant pas à ca. Je courus voir ce qui se passait, et je me retrouvas dans un nuage de fumer. Je toussas en marchant et en essayant de touche a quelque chose qui pourrait me servir a faire disparaitre toute cette boucane, mas a la place, je rentras dans quelqu'un d'assez grand et costaud. Je trébuchas a terre, emportant avec moi une casserole et d'autres trucs de cuisines. La personne que je venais de foncer dedans lâcha un petit juron inoffensif et il ouvrit une fenêtre, ce qui fit que la fumer noir s'échappa par la. Le cuisinier me regarda, avec un sourire de gamin, et il me tendit la main. Je la pris et il m'aida à me relever. Je m'époussetas la robe pour la deuxième fois de la journée et je le remercias de m'avoir aider.
Gabrielle: heu... Pourquoi la cuisine a explosé?
Lui: raah... C'est a cause que je suis trop presser à faire a manger.
Gabrielle: heu... Quel est le rapport entre les deux?
Lui: je suis tellement presser que le repas soit prêt, que j'utilise les grands moyens!
Gabrielle: comme?
Lui: regarde! Ca vient de mon pays, et ca s'appel un lance-flamme!
Il sortit un gros tube avec un réservoir d'essence d'un des tiroirs, et il me le montra.
Gabrielle: c'est quoi ça fait?
Lui: le nom le dit! Ca lance des flammes!
Gabrielle: waah! Mais c'est dangereux!
Lui: mais non! Ce ne l’est pas quand tu sais t'en servir!
Gabrielle: ah ouais... C'est rassurant...
Lui: hey au fait! Moi c'est Bardroy! Mais appelle-moi Bard!
Gabrielle: et moi c'est Gabrielle.
Bardroy: t'as pas de surnom?
Gabrielle: bah ca dépend des gens... Il y en a qui m'appelle Gab, d'autres Gabi, et d'autres "Hey toi la petite!".
A ce surnom, Bardroy se mit à rire.
Bardroy: je préfère t'appeler lady Gaga que comme ca!
Je me mis a rire a mon tour et il ria lui aussi. On fut interrompu par quelqu'un qui cogna a la porte de la cuisine... En tout cas, ce qu'il en restait. Le cuisinier et moi se retournèrent vers la porte, et Sebastian y était. Il contempla le restant de cuisine avec méprit et il regarda Bardroy, puis moi.
Sebastian: Bardroy, tu as encore fais exploser la cuisine?
Bardroy: he he, pardon Sebastian. J'étais encore trop presser.
Le majordome soupira et il prit un linge à vaisselle humide.
Sebastian: il va falloir qu'on nettoie encore.
Bardroy: oui m'sieur!
Il prit un linge humide et il m'en donna un autre.
Bardroy: Aller, ca va aller plus vite à trois!
Gabrielle: *avec un sourire enjoué* oui!
On nettoya le dégât que le cuistot a fait, et ca dura au moins trois bonnes heures. Pendant qu'on rangeait, Bardroy et moi nous nous amusions a faire a semblant que les assiettes était des vaisseaux spatiaux qui rentrait dans la base secrète. Et Sebastian nous regardait, désespérer qu'on prenne ce travail pas au sérieux. Lorsque j'époussetas le sol, je disais que c'était le déserts du Sahara, et qu'on avait le devoir de tout ramasser ce sable, pour le jeter dans le ventre du grand-mangeur, qui est en fait la poubelle. Bard, qui trouvait l'histoire amusante, prit le porte poussière et il dit que c'était la cuillère en or du grand-mangeur. Lui et moi faisions des "attention! Le grand-mangeur a faim!" ou "la cuillère en or est pleine! Elle arrive a la bouche du grand-mangeur et... Ooh! Il a tout manger!" ou encore "le repas du grand-mangeur est prêt! Que la cuillère en or vienne chercher la marchandise!". On entendait a mainte reprise Sebastian qui soupirait et qui se disait qu'on faisait un vacarme inutile. On a vraiment rigolé!
Il était 18 heure lorsqu'on eu finit de nettoyer la cuisine. Sebastian nous dit qu'il pouvait préparer le souper, et on sortit de la cuisine. On alla se promener un peu partout en parlant de ce qu'on aimait, ce qu'on aimait moins et tout le tralala. On se conta aussi des blagues, jusqu'a temps qu'on croise Finnian et May Linn qui discutait.
Gabrielle: hey! May! Finny!
May et Finnian: ah! Gabi! Comment ca va!?
Gabrielle: bien et vous?
Finnian et May: super bien!
Finnian: ça vous dit d'aller jouer avec Plu-Plu, dehors?!
Gabrielle, May et Bardroy: oui!!!
Finnian: alors directions...
Gabrielle, May et Bardroy: ... Le jardin!
Quelqu'un derrière nous s'éclaircit la voix pour montrer sa présence, et il prit la parole. C'était une voix enfantine, et masculine, mais qui avait de l'autorité.
Ciel: Gabrielle, j'ai à te parler. Viens dans mon bureau.
Gabrielle: heu oui... Maitre...
Je fis une courbette et je le suivis jusqu'à son bureau, et il alla s'asseoir a son bureau. Je m'avanças un peu vers lui, mais pas trop, par peur d'être trop prêt et de le gêner. Je baissas la tête, me disant que je devais avoir fais quelque chose de mal pour qu'il me convoque.
Ciel: mais voyons, ne fais pas cette tête, je ne vais pas te punir. Au contraire.
Gabrielle: ah non? J'ai rien fais de mal?
Ciel: a ma connaissance, non. En fait, si je t'ai convoqué ici, c'est juste pour heu...
Il prit un air embarrassé et il tourna le regard vers la gauche. On dit que les comtes et aristocrates sont des pervers... Est-ce que les enfants font partit de ce cercle vicieux? J'espère que non. En tout cas ça en a pas l'air, parce que sinon il aurait engagé que des filles. A moins qu'il soit...
Ciel: je voulais m'excuser pour tout a l'heure! Je t'ai insulté.
Ben voyons! Comme il est gentil! Moi je n'y ai pas pensé de l'après midi. Je le regardas un court instant, et il avait reprit son air de gamin grognon.
Gabrielle: ah heu... ça ne fait rien... Je n'y pensais même plus... Je suis habituer, vous savez...
Il y eu un moment de silence.
Ciel: dis, t'as quel âge?
Gabrielle: heu 14 ans, messieurs le comte.
Ciel: ah bon? Je te donnerais plus jeune que ca.
Il me regardait avec un sourire moqueur. Ah le gamin! Il rit de ma taille! Il veut que je pête un câble, ma parole! Fichtre! Y a pas à dire; les jeunes aristocrates sont de vrai morveux qui veulent faire baver les autres!
Gabrielle: *avec un faut sourire* oh merci pour le compliment, messieurs le comte.
Il me sourit comme le ferait un frère emmerdeur à sa sœur et il me répondit, avec une fausse voie enjouée:
-ah mais de rien, Gabrielle!
Gabrielle: ah je crois que je vais devoir y aller! Je ne veux pas vous déranger plus longtemps, messieurs le comte!
Je n'attendis pas qu'il me donne l'autorisation de sortir que j'ouvris la porte et je sorties. Je refermas la porte derrière moi, et je courues dans le jardin, où se trouvait déjà les autres, avec Pluton.
Finnian: Alors? Que voulait le comte?
Je soupiras longuement, et je m'assis, m'accotant sur Plu-Plu.
Gabrielle: M'embêter.
May: Ah bon? Ce n’est pas son genre, pourtant...
Bardroy: Mais en y pensant, c'est vrai que le maitre semblait avoir quelque chose contre Gabrielle.
Gabrielle: ouais, mais quoi? Je ne lui ai rien fais!
Bardroy: peut-être est-ce due à ta petite taille?
Finnian: Ça ne colle pas, sinon il m'aurait aussi fait passer un test, et il m'aurait embêté.
May: C'est surement parce que Sebastian a clairement dit au comte que t'avait une très grande force, mais pour Gabrielle, il a simplement dit qu'elle savait se battre comme une pro.
Finnian et Bardroy: May Linn! T'écoute encore aux portes!?
May: *rougit et sourit bêtement* Hé hé... Ce n’est pas de ma faute... Je passais par là par hazard, et je les ai entendus parler... Et ma curiosité a prit le dessus... Encore.
Bardroy: Ralala toi alors.
Gabrielle: *dans un coin, en train de se morfondre* Mais j’avoue que ma petite taille ne m'a jamais aidée.
Finnian: *me rejoint et se morfond à son tour* Ouais, les petites tailles, ça n'aide personnes.
May: ne vous méprenez pas! C'est utile être petit, quand on y pense!
Gabrielle et Finnian: Une preuve??
May: Comme si vous devez vous échapper, vous pouvez ramper dans des conduits d'aérations, vous pouvez vous cacher dans des endroits plus petits, vous pouvez passer sous les jambes d'agresseurs potentiels et...
Gabrielle: *la coupant avec une main en avant* Wooh! Tout ce que tu dis, ça se passe en cas extrêmes! Dans la vie habituelle, c'est super inutile d'être petite! Comme aucun gars ne veut d'une petite fille!
Une aura maléfique entoura la bonne, et elle me regarda avec des yeux malsains et un sourrire sadic.
May: Au contraire! Les garçons adorent les petites filles! N’est-ce pas, Bard, Finny!?
Bardroy et Finnian: Heu... pourquoi nous?
May: Vous êtes les mecs, ici, non?
Bardroy et Finnian: Heu oui...
May: Donc vous préférez les petites filles, non?
Bardroy et Finnian: Heu oui... Mais pas trop petite.
Je sentis que ce commentaire m'était destiné, et je croisas mes bras sur ma poitrine, et je fis une grimace qu'une petite fille de quatre ans ferait. Sebastian vint nous dire que le souper était prêt, et on alla dans la sale à manger. Le comte mangea en premier, et on devait rester debout, à coter de lui, à le regarder manger. Torture total! Mon ventre criait famine, et je devais le regarder manger, se remplir l'estomac, se rassasier, vivre. Et nous, on mourait peu à peu. je maudis celui qui a inventé la règle que les domestiques devais regarder manger le maitre avant de manger à leurs tours! Et lorsque mon ventre couinait pour la centième fois, je remarquas que le comte Ciel Phantomhive avait sourit! Je laissas échapper un petit "tss" enragé, et ce fut une erreur; il avait échapper un petit rire discret! Grrr! Il m'énerve, lui! Il finit de manger, il se leva, et il sortit de la sale à manger, accompagner par Sebastian. May, Bard, Finny et moi desservions la table, et la bonne aux lunettes cassa les assiettes, dans l'armoire... Allez savoir comment. Et on pue enfin manger. Pendant le repas, on discuta, et les autres semblaient vraiment intrigués de savoir pourquoi Ciel m'embêtait. je leur ai sortit l'excuse de la petite fille, et ils ont semblés m'avoir crut. On finit de manger, notre repas, et on alla dans la cuisine laver notre vaisselle, en plus de celle du maitre. Ensuite... Dodo time! On alla dans nos chambres, non sans se faire un câlin de bonne nuit. Je me changeas, pour mettre ma robe de nuit, et je sautas dans le lit. Je m'endormis presque tout de suite, sombrant dans de beaux rêves.
Vers deux heures du matin, je fus réveillée par des pas dans le couloir. Je fus surprise. Ils s’approchaient. J'avais peur. Ils étaient très proches. J'étais apeurée. Ils s'arrêtèrent devant ma chambre. Je pleurais. La porte s’ouvrit...

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Voilà pour le chapitre 2!! Bah enfait, j'adore le style théatrale, parce que c,est moins compliqués, et moins lourd à écrire... Mais pour le chapitre 3, je vais essayer avec l'autre style... Si je suis capable d'écrire jusqu'au bout...
Sinon... J,aimes trop le surnom que Bard a trouvé pour Gabrielle x) (allez savoir pourquoi... )

Toujours des fautes de temps qui posent problèmes (dans les trois phrases que j'ai lues au pif, il s'avère d'ailleurs que je suis tombé sur le surnom en question ) -> quand tu utilises le passé simple pour dire "nettoya les dégats qu'il a fait" il faut utiliser le plus-que-parfait pour le passé suivant si l'action est antérieure -> "nettoya les dégats qu'il avait fait" (il a fait les dégats avant de les nettoyer). Voilà voilà =)

Moi qui voulait un chapitre plus long, je suis servie Oo Mais tellement long que je lirais la suite plus tard, si ça ne te gêne pas ^^"

J'ai remarqué les fautes habituelles de conjugaison et compagnie, et certaines de français, tout simplement.
Exemples : à la millimètre près -- au millimètre près.
A cause qu'il --> Parce qu'il

Je crois que je t'avais déjà fait la remarque, mais quand tu n'arrive pas trop à utiliser certains mots ou expressions, essaye de simplifier ta phrase

Apparemment, je me fais enguirlandée parce que je n'aime pas le style théâtrale (n'est-ce pas Swirl, en particulier). Alors si tu continue avec ce style, essaye de le mettre en valeur. Par exemple saute uen ligne avant de commencer le dialogue et met le nom (ou les ??) en gras pour faire ressortir.
De même avec les pensée de ton personnage, mais il me semble que je te l'avais déjà dit avant.

Bref, dans l'ensemble, tu t'es bien améliorée et j'aime bien l'histoire (ça, ça n'a pas changé ^^). Continue de corriger tes fautes d'orthographes (relis-toi plusieurs fois, même un ou deux jours avant de mettre ton chapitre en ligne), pense à bien sauter des lignes entre tes paragraphes et dialogues puor aérer ton texte et ça sera nickel chrome