la prophétie oublié

de toute façon c'etait au programme de la lire alors ...

Alors question fautes d'orthographes et compagnies, je vous ai envoyé, à Alice et Zelos, le texte corrigé par mes soins (pour vous aider, et pour aider Crona).

Après, si le chapitre n'est pas encore terminé, je ne peux que dire "j'attends la suite"

J'ai internet pendant 5minute alors j'ecrit rapide donc si il y as des fautes tempi

le chapitre est finit
zelos je n'es pas repris t'es corection je m'en excuse mais comme c'est mon tout premier chapitre je voulais le garder tel quelle
Au pochain chapitre
Zélos ne change que les fautes d'orthographe et les virgule les point ou tu trouve n'escesaire qu'il y en ai
alice te les enverass

la cloche je doit envoyer j'ai plus internet
a la prochaines les amis
bigbiz

Hello Crona !
Ça fait plaisir de te voir de temps en temps.
Sinon, chapitre bizarre, un peu brouillon peut-être au niveau de "qui dit quoi", j'avoue ne pas avoir tout compris.
Le nombre de fautes est aussi déplorable.

crona bin sa fesais longtemps !!!
et bigbiz c'est mon expression !!!!
a c'est parceque je te les envoier par mns que tu recopie
grrrrr
bref ok j'enverais les chapitre a zelos de ta par

Compte sur moi pour souligné toutes le maladresse et les incohérence de ta fic

Ok bin comme ça le problème est résolut
enfin
bon on atent la suite crona

Eh, laissez-là respirer !
Si elle a pas Internet, vous attendez pas ce qu'elle poste.

M

N ...
Je souligne l'utilité de tels posts.

Wow tranquillos là, les jeunes ! Laissez Crona écrire tranquillement.

J'ai son texte malheureusement le logiciel qu'elle utilise ne passe pas sur mon ordi, alors je doit tout retape par ce que je peut pas copier coller
je donne a corriger a Zelos normalement samedi et comme sa dimanche je poste

Alice envoie-le moi aussi, ou Zelos me l'envois après l'avoir corrigé pour que je vérifie avant que tu postes

Je lai fait mes aucun de vous deux n'a voulu conrrigé et j'ai trois chapitre que notre amies a envoyer, vus a la vitesse a laquel elle vas je vais bientôt avoir le chapitre 5 alors je poste 3 chapitre d'un coup pour ratrapé le retar
au passage lina tu vas aimé beaucoup beaucoup la suite.

Chapitre 2: Des colocataires

Quand les deux jeunes filles arrivèrent chez elle, accompagner par les deux garçon rencontrait au lycée, il était plus tart que d’abitude, et les mamans des demoiselles les atendaità l’entrait de la demaures.
- Je comprend maintenant pourquoi elle sont au retart, dit la mère de Meiyo, alors que les filles était a portait de voix.
- Moi aussi, renchéris l’autre.
Elles s’amusait de voir leurs filles rougirent, elles avaient oublié que leurs les taquinait toujours lorsque que les adolescentes ramenait des garçons à la maison, même si c’était pour des travaux en groupes. Très rapidement, le fort caractère d’Hämonï pris le dessus:
- Maman ! Madame ! Comment pouvez-vous !
Part derrière, Meiyo qui voulais éviter à Hämonï des ennuis, la gifla gentiment pour ne pas que ça mère ne se maitre en colère. Hämonï compris et se calma à contre cœur.
- Mère pouvait vous arrêter s’il vous plait, vous savait à quel point Hämonï est susceptible sur ce sujet j’aimerais éviter qu’elle est dans problème comme la dernière fois, dit calmement Meiyo, avec une pointe de supplice dans la voix quand même.
- Bien ma fille, je suis fière de voir à quel point tu te soucis des autres, tu deviendras une bonne héritière.
Cette fois, c’est Meiyo la première a réagirent.
- Mère nous en avons déjà parler, je ne veux pas être l’héritière de la maison Seika No.
Les deux femmes ce regardèrent, puis explosèrent de rire.
- C’est vraiment trop marrant de vous faire marché les filles vous partait en curant à chaque fois, ricana la mère d’Hämonï.
Comme pour faire semblent de les ignorer Meiyo passa à côté d’elle suivit de c’est amie. Sa mère n’apprécia pas ce comportement.
- Meiyo, grondât-elle.
Sa fille ne répondit pas et continua de marcher jusqu’à sa chambre. La maison, bien que pas très élargit était de haute taille. Chaque étage était destinait à quelque chose en particulier. Le sous-sol pour la famille de Hämonï, c’était très bien aménager, avec une belle salle de bain et des belles chambres, pour des serviteurs ils était plutôt bien loger. Le rez-de-chaussée était réserver pour les pièces à vivres. Le première étage pour Meiyo, le deuxième pour ces parents. Les dernière étage étaient réservait pour les chambres d’amis. Derrière la maison se trouvait un immense jardin où les deux jeune fille joué jusqu’à épuisement dans leurs enfance.
- Meiyo ! Recommença de raler sa mère.
- Quoi ! Si c’est encore pour nous charier ça me sert à rien de me parler
- Ne te rebelle pas s’il te plait, je voulais juste savoir qui sont t’es deux amis, reprit-elle.
Cette fois c’est Hämonï qui prit la parole, car elle vit que sont amie n’était pas assez calmer pour parler.
- Maman, madame, laisser moi vous présentait Arekusandä et Sedorikku, les deux princes déshériter les mois derniers.
- Je voit qui c’est je l’ai lus dans le journal, ils ont étaient été déshériter par ce que leurs yeux change de couleur et que le peuple ne voulais pas d’ enchanteur comme roi, moi je trouve ça nul, c’est un don, qu’ils ont, commentât la mère de Hämonï, où vous êtes vous rencontrez ?
- Au lycée, ils sont dans notre lycée, reprit Hämonï.
- Mouai, bougonna Meiyo.
- C’est bon, ne me dit pas que tu m’en veux encore pour toute à l’heure, dit Arekusandä
- Non ! C’est bon ! Fit Meiyo avec un petit sourire forcé.
- Il s’est passé quoi toute à l’heur ? Demanda sa mère.
- Rien ! Répondit méchamment Meiyo
- Tempi, mais dit moi juste, tu comptes les faire dormir ici ?
- Ils n’ont pas de toit donc oui.
- Bien, je vais préparer leurs chambres, commença Hämonï.
- Non, laisse ma fille je vais le faire toi reste avec t’es amis, reprit sa mère avec un sourire ahuri.
- Merci maman, mais arrête avec ce sourire on dirais un poisson.
Sa mère arrêtât de sourire vexer par ce que venait de dire ça fille. Puis elle montât pour préparer les lits des deux invité. Les quatre enfants allèrent dans le jardin ce reposer et parler tranquillement.
- Dit-moi, Arek, lui chuchota son frère, Tu regardes Meiyo d’une façon que je n’est jamais vue, et t’es yeux son jaune, je n’ai jamais vue sa.
- Vus quoi ? Demanda Hämonï, qui, malgrais ce quel’ont pouvais pensé avait une ouïe fine.
- Rien, répondit très rapidement et méchament Arekusandda.
- Meiyo ? S’interrogea Hämonï.
- Elle s’est endormie, répondit Sedorikku. _
Hämonï sonna une cloche et une enfant d’environ 13 ans arriva en courant, elle était d’une beauté incroyable pour une fille de son âge, ces grand yeux et ces long cheveux étaient argenté et luisez comme des diamant au soleil. Pour une fille de son âge elle était aussi très petite, mature, et une poitrine très volumineuse, une mèche de cheveux tombant sur son œil gauche que l’on ne voyer plus du tout, Hämonï connaissait bien la raison pour laquelle elle avait désiré cacher son œil, mais pour une raison personnelle elle ne veut pas en parler pour le moment a ces amie qui venait de poser la question. La jeune fille fit une petite révérence maladroite et regarda sa sœur l’aire de lui demandait ce qu’il se passer, Hämonï compris rapidement et répondit a sa question:
- Eux ce sont les deux prince déshérité, et elle c’est ma maîtresse qui c’est endormie, appelle papa et demande lui si il veux bien la prendre pour la mettre dans sa chambre, je ne peux pas la porté seul.
- Bien.
- Merci petite sœur, répondit-elle en lui adressant un large sourire, que les deux garçon n’avaient pas encore découvert chez la demoiselle.
Intriguer par ce changement, les deux garçons commencèrent à poser des questions.
- Qui c’est pour toi cette gamine ? Demanda Arek sans ménagement.
Hämonï perdis son sourire pour reprendre son expression abituelle,
- Cette gamine comme tu l’appelles c’est ma petite sœur, c’est la personne que je ne pourrais jamais trahir ou même dire du mal, fit-elle avec un ton de reproche.
- Mais, repris Sedo, Meiyo n’est pas la personne la plus cher a ton cœur ? Je pensais
- Elles sont a égalité je dirais en faite, peut etre que ma sœur a un point de plus mais c’est ma sœur ce n’est pas pareille par ce que …
Elle fut interrompu par son père qui arriva en courant.
- Coucou ma fille, dit-il, ta journée c’est bien passé, j’imagine qu’elle as été fatigante vue que Meiyo c’est endormi.
- Oui très mais je te raconterais ça ce soir au dinée si tu veux bien, pour le moment, Meiyo c’est endormi je voudrais la montais dans ça chambre mais maintenant que nous sommes grand elle est trop lourde pour moi, tu veux bien le faire s’il te plait ?
- Mais oui, il faut que je te parle en privé vue que demain et un jours ferie j’en profiterais.
- Bien.
Son père repartit la demoiselle dans ses bras, son uniforme noir tombant sur les jambe de l’homme. Il n’avait aucun mal a la porter, car la dame était la plus maigre de la région, étant donné qu‘elle avait depuis leurs plus tendre enfance la même morfologie, Hämonï aussi était excessivement maigre, bien que leurs généreuse poitrine les rendais des jeunes filles élégante et saines. La discutions terminé entre les deux garçons et la dame de chambre chacun retournèrent dans les appartements.

- Arek est qui aime tout contrôler, vous l’intriqué et il cherche à vous comprendre pour pouvoir vous contrôlé, il ne partiras pas d’ici sans y être arriver.
- Mais nous sommes des filles normal pas des alliens étranges.
- Et pourtant il ne vous comprend pas.
Bin des mots furent prononcé en l’absence d’Arekusandä, son frère parler avec les deux filles comme si il ce connaissaient depuis toujours. Arek avait refisait de descendre mangé en disant qu’il ne se sentait pas bien, son grand frère été persuader qu’il voulais surtout réflèchir au calme. A la fin du repas, chacun retournèrent à leurs appartement, fatigué de leurs journée quelque peu agité.

Pardon pour les erreur mais si j'avait corrigé sa aurais été pire alors ...

Chapitre a lire en écoutant sa
a la demande de Crona
https://www.youtube.com/watch?v=Q2aM5btBLVU



Chapitre 3: Une nuit agitée


Dans la nuit alors que tout le monde dormaient tranquillement, Sedorikku ce leva réveillé par des bruits étranges, ne voyant rien à la fenêtre, il alla voir son frère, qui été déjà réveiller avec trois jeunes filles auprès de lui, c’était Meiyo, Hämonï et sa petite sœur, Tenshi. Le garçon les regarda et rougit, d’un coup rapide, les trois filles s’éloignèrent du garçon rouge de honte.
- Sedo, combien de fois je t’ai dit de toquer au porte avant de rentrait, s’exclama son frère.
- Mais je ne penser pas que …
- Ne vas pas te faire des film, ok, hurla Meiyo de peur de salire son nom.
- Bon, ok c’est bon on oublie, juste une question: Mais qu’est-ce que vous faite là ?
- Et bien le bruit de dehors nous a réveiller comme nous avons entendu du bruit dans la chambre d’Arek nous sommes allez voir, répond calmement Tenshi qui commençait a prendre la parole moins timidement que lorsque Sedo n’était pas la.
- Vous dormait dans la même chambre ?
- Non mais comme je connait bien ma sœur je sens quand elle ne dort pas et Hämonï et Meiyo on un lien qui les unis je dirais, elle sente quand l’une des deux dort ou si l’une est malade. C’est super marrant des fois. Bref du coup on c’est retrouver dans le salon.
- Ha, d’accord.
La discutions s’arrêta là, les filles d’un coté de la chambre le garçon de l’autre. Après quelque minutes de silences Meiyo s’impatienta:
- Hämonï ma robe de chambre, s’il te plait j’ai froid, que dirais vous d’allez a la cuisine pour boire un chocolat ?
- Bien, répondit Hämonï en remettant la robe de chambre rouge et en soie sur le dos de sa maîtresse.
Puis ils descendirent tous jusqu’au cuisines où ils burent avec plaisir le bon chocolat préparer avec soin par Tenshi. Un grand silence fût roi pendent un bon moment. Il fut rompu par des crie et des bruit étranges venant de dehors. Les adultes arrivèrent en courant dans la cuisine, suivit des autres serviteurs. La femme regarda sa fille et lui fit signe de la suivre ainsi que tout les autres enfants sauf le jeune garçon. Elle les emmena vers le salon avant de les regardait d’un aire grave, elles les défisagea et ce mie a parler, prête a pleurer.
- Je sais que pour Arekusandä et Sedorikku c’est leurs première nuit ici, mais pour les filles, non. Dans le jardin il y as une salle souterraine trop petite pour nous tous, mon mari la construite par ce qu’il santé un problème dans le pays: nous sommes en guerre. Malheureusement, il n’a pas prévue assez de place pour tous le monde, alors vous tous les enfants, ainsi que le garçon qui est là-bas, vous irez dans la salle. Nous nous resterons. En aucun cas, aucun cas je veux voir l’un de vous sortir de cette salle. Promettez le moi.
- Mais mère on ne peux pas…
- Vous, enfants vous êtes l’avenir de cette empire, nous nous somme vieux, ridés. Et en moins bonne santé que vous. Il est plus important pour vous de survivre que pour nous, répondit-elle en pleurant comme un enfant. Promet-moi ma chère fille de ne pas sortirent de cette pièce avant le matin.
- Bien, je vous promet, dit-elle en pleurant et en prenant ça mère dans les bras.
- On vous le promet parla Tenshi en regardant les autres et en parlant pour eux.
Hämonï ne voulais pas excepter cette décision mais elle savait que le moment n’était pas à l’objection.
- Bien dites au revoir au autres et filer, et le plus vite possible, adonna la femme à contre cœur.
Ils retournèrent dans la cuisine, Sedorikku pris la sœur de Hämonï dans c’est bras de façon qu’il ne puissent plus bougé, vus comment elle se débattait. Les enfants dirent au revoir a leurs parents et partirent en courant vers la salle souterraine. Mais au moment où ils allaient rentré une des bombes qui tombé des avions ennemis arrivas en plein sur la maison. Et Meiyo, Hämonï et Tenshi hurlèrent en cœur un « non » désespérait et triste. Elles se mirent a pleurait et les deux garçons les tirèrent dans la salle pour les empêchait d’allez courir jusqu’à la maison maintenant en feu.
Hämonï pris sa sœur dans les bras, Meiyo se blottit dans les bras des garçon, et les deux garçon essayèrent de les réconforté avec une chanson, alors que eux aussi était en train de pleurer, mais il savait bien qu’elle avait besoin de réconfort. Le lendemain matin, les filles calmaient arrêtèrent de hurlait, tout le monde s’endormie sous le sol le bruit des explosions dans les oreilles, bien que les bruits été forts, la fatigue pris le dessus sur les six personnes qui s’endormir pour ne se réveiller de le lendemain matin.
Les explosions avaient cessé, tout le monde sortit de la chambre et regardèrent les ravage sur Londres, Les filles coururent vers la maison pour voir leurs parents. Les garçons les aidèrent a dégagé les débris dans l’espoir de trouvait une trace de survit sur les adulte et les autres servant. Rien. Rien, aucune trace de mort, mais aucune trace de survivant, Arekusandä pris les filles dans ces bras et déclara:
- Je vais peut-être vous rassurer où empirait mais je prend le risque: nous n’avons pas vus de trace de vos parent peu être qu’il ont eu le temps de fuir mais dans c’est cas la où sont-ils ?
- Nous ne devons pas nous laisser allé, dit Meiyo en essayant de se calmait. Mes parents ne serons pas morts en vint, nous allons prendre un train partir loin d’ici, loin de notre peine, et survivre avec ce que nous aurons là-bas. Courage, nous pouvons le faire.
Elle se dirigea ers un coin d’angle de mur, un coffre en métal apparemment très résistant vus qu’il n’avais pas exploser en même temps que la maison. Meiyo l’ouvrit et sortit son contenu. Il y avait des sous, beaucoup de livres. Elle les prit, et ce redirigea vers la salles souteraine, elle posa dedans l’argent, et alors qu’elle était calme, d’un seul coup, hurla a ses amis de courir a l’intérieur, la porte a peine refermer une bombe arriva sur la ville. Ils attendirent une autres bombes mais rien. Hämonï regarda sur sa droit, sur sa gauche ses amis, et derrière Seddoriku, elle remarqua une porte, elle l’ouvrit rentra dans un petite pièce sombre, dans pieux en feu éclairer un peu cette endroit. Il y avait plein d’affaire, des longue robe, des pantalons, des vestes, des livres, des affaire de soin comme des brosses et autres, des bijoux…
Les cinq petit curieux entrèrent, comme il était tous en pyjama, il s’habillèrent les filles dans une pièces, les garçons dans l’autres. Hämonï prit une robe tombant jusqu’au cheville bleu azur, richement d’écoré. Tenshi pris une robe identique, mais au couleur différente, elle était aussi argenté que ses yeux et cheveux. Meiyo regarda les robe et en prit une rouge identique a celle des deux autres choisis, mais le choie de la coupe était simples c’était les même mais de couleur différente. Arek avait pris un ensemble jaune presque blanc, Sedo lui avait pris du dorée, de la même forme que celui de son frère. Ils étaient tous assortit, de couleur différente. Meiyo en rouge, Hämonï en bleu azur, Tenshi en argenté, Arek en jaune pastel et Sedo en dorée.




voila
lina le chapitre 4 tu vas adoré
lol

4. Le chien de la reine.

Ils partirent en ville, ou du moins se qu’il en restait. Quelque maison semblait avoir était épargnait, mais d’autre avait finit en cendre, c’était terrible, le collège de Tenshi était complètement défonçait une partit encore en feu. Le lycée des quatre plus grand avait aussi soufrèrent mais moins quand même. Enfin, ils arrivèrent devant le palais de la reine, qui ne semblait ne pas avoir reçu de bombe, mise appart quelque cratère dans le terrain. Les cinq enfants arrivèrent devant les grilles, un servant arriva pour leurs ouvrir, il été entièrement vêtu de blanc. Il les invita a entré, il eu un regard surpris en voyant les deux princes, mais il ne dit rien. Les yeux des deux garçons était noir et rouge. Ils faisaient peur comme ça, avec les cheveux blanc de Sedo, et les cheveux noir d’Arek, il était aussi différent que les deux filles. Le serviteur les conduisirent jusqu’à la salle du trône ou siégé la reine.
- Mais enfant ! S’exclama la reine, dieu soit louée vous avait survécu, j’était tellement inquiète.
Elle se leva pour embrasser les garçons qui l’évitèrent méchamment. Elle les regarda, leurs yeux étaient passait au vert très foncé limite noir. Ils avaient l’airs très en colère, ils en voulaient a leurs mère ce qui étaient normal après ce qu’elle leurs avait fait, les bannir pour des yeux changeant de couleur.
- Bien, j’ai une mauvais nouvelle a vous annoncé ma reine, ma maison a été bombardé, mes parents n’ont pas pus ce protégé.
- Bien, il te faudra de l’aide, malheureusement je ne vois pas comment je pourrais t’aidait pour l’instant, je penser faire évacuée du pays la noblesse mais en attendant que la que la projet aboutisse il vous faut l’aide d’un comte. Je pense que tu vois de qui je parle.
Meiyo, Arek et Sedo comprirent de suite, les deux servantes comprirent un peu apres, mais elle n’avait pas l’air enchanter par cette idée.
- Nous irons, déclara Hämonï la voix tremblante. Même si, je vous avoue que pour ma part et celle de ma sœur c’est a contre cœur. Je n’aime pas l’ambiance qui règne là-bas.
- Hämonï on as pas le chois, gronda Meiyo.
- Bien maintenant courrai le plus vite possible là-bas.
Ils coururent le plus vite possible jusqu’à une forêt sombre. Il s’y arrêtèrent pour reprendre des forces.
Le comte chez qui les enfants ce rendait avait l’âge de Tenshi, comte depuis bien des années, après la mort de ces parents dans un incendie, il avait disparu deux ans pour réapparaitre, avec un serviteur entièrement vêtu de noir: le comte Ciel Phantomhive. Il avait résolue des affaires de vole, de meurtres, d’enlèvements, que Scotland yard n‘arrivait même pas a résoudre. Il avait maintenant quatorze ans. La dernière fois qu’il c’était vue, deux ans plus tôt, Meiyo, Hämonï, et Tenshi avait eues peur de l’ara noir de cette maison. Elles avaient jamais voulus revenir dans cette endroits, mais aujourd’hui, elle n’avait plus le chois. Les deux garçon par contre, connaissaient bien cette endroit pour être beaucoup allée porté des messages du roi, Mais il trouvait que l’enfant gardait de trop lourde taches sur ces frêles épaules, mais que pouvait-il faire.
- Bon nous ne repousserons pas chemin, je vais voir pour avoir de l’aide, déclara Meiyo d’une voix tremblante.
- Je ne sais pas comment il va bien pouvoir réagirent, il est si fière et si arrogant, répondu Arek.
Meiyo ignora la remarque, elle savait que son ami avait raison, mais elle s’en moqua, elle repris sa route en marchant. Elle semblait avoir confiance. Ce qui interpella Hämonï, qui alla parlait avec elle tranquillement éloigner des autres.
- Qu’est-ce qui te fait croire que le comte nous aideras, il ne travaille que pour la reine, il n‘aime pas que l‘on se mettes en travers de son chemin. Il est bien étrange.
- Je le sens rien de plus, te souvient tu que ta sœur avait réussit a la faire sourire ? Je vais me baser la dessus, répondit-elle.
- Que veux-tu dire ?
- Je pense que le chien n’as pas eu de visite depuis bien longtemps, mises appart de sa fiancer. Je pense que de vivre seul avec son majordome le rend exécrable, après tout moi je t’es toi et les autres mais nous deux seul sans personne nous deviendrons folles. Et de toutes façons, je n’ai pas envie de partir d’Angleterre, j’aime mon pays c’est de ma faute, mais si tu y pense, le comte n’obéis qu’a la reine, et nous sommes la sur ordre de la reine, il ne peux donc pas refuser notre visite.
Hämonï ne répondit pas bien qu’elle savait que son amie fessait semblant d’être confiante. Elle repartit vois sa sœur et les garçons. Dans un silence de mort, ils arrivèrent devant une grande clairière bien jardiné, au plante diverse, et au arbre bien aligné. Il avancèrent jusqu’à la porte, un majordome entièrement vêtu de noir, leurs ouvrit et les conduisirent jusqu’à son maitre. Il annonça leurs venu sans même que les cinq personne ne se soit présentait:
- La comtesse Seika No, deux de ces servantes, et les deux princes déshérité veulent vous voir.
Un voix derrière roque derrière la porte les invita a entré. Ils arrivèrent devant le « chien de la reine », il été frêle, sur un grand siège de velours noir, l’œil gauche caché derrière un cache, l’autre était d’un bleu luisant comme des diamants, ces cheveux noirs était surmonté d’un chapeau. Il avait l’air sévère. On sentait que la jeune Tenshi tremblait, pourtant elle ne levait pas les yeux du garçon. Meiyo et Hämonï semblait le méprisait, et les deux garçons le regardait avec méfiance. Le garçon se leva? Il n’était pas très grand et ne semblait pas très puissant, pourtant c’était le « chien de la reine » de la plus haute ligné.
- Que me vaut l’honneur de cette visite? Demanda Ciel. Je ne pansait pas vous revoir de si tôt Seika No.
Elle le méprisa puis répondit en essayant d’être le plus calme possible.
- A Londres la guerre éclate, il n’y plus endroit pour moi, ma maison a était bombardait avec mes parents, nous sommes les seul rescapé, la reine a décrétait que je devais avec mes amis vivres ici temps que la reine trouve un endroit tranquille pour nous.
- Tu fait preuve de calme c’est bien, répondit-il sournoisement. Je vais vous accueillir gentiment seulement par ce que la reine le demande, mais ne vous n’était pas en travers que mon chemin. Sébastian ?
- Oui maître ?
- Vas préparer des chambres pour nos hôtes.
- Yes, my lord.
Tenshi regardait encore le garçon sans le lâchée des yeux, Hämonï était de plus en plus méfiante, Meiyo souriait fière d’avoir réussis a le faire plier, Arekusanda le mépriser, et Sedorikku regardait avec jalousie le gamin. Ils montèrent dans leurs chambres richement décoré, des tableaux, des tapisseries et des bibliothèques replis meublé les murs. Sébastian le majordome vient les cherchait pour le diné, là ils entamèrent un discussion plutôt animé:
- Alors, que c’est-il passé la nuit dernière ? Demanda Ciel. Il faut dire que mon manoir est retirait, je suis très souvent informé en retard.
- Enfaite toute la nuit des m=bombes sont tombé sur Londres, la ville est détruite a 50%. La reine va avoir bien du mal a tout faire reconstruire. Mais elle y arriveras surement après la fin de la guerre, en attendant nous devons vivres éloigner de la ville. La reine a l’air de beaucoup tennir a ma famille, et moi seule héritière je suis incapable de dire pourquoi. Toi cela fait bien longtemps que tu a repris ton affaire familiale comment a tu fait alors que tu avez environ 11 ans si je me souvient bien.
- Que veux tu savoir d’autre ? Demanda agressivement Sedorikku dont les yeux était marron depuis la rencontre avec le comte.
- Et bien je pense que c’est tout.
Le repas finit, chacun retourna dans sa chambre et Ciel et Sebastian ce retrouvèrent seul dans la salle.
- Que pense tu de ces gens ? Demanda l’enfant a son fidèle serviteur.
- Et bien, les deux plus grandes filles ne font penser a quelque chose, mais je ne sais plus quoi. Les garçons ne semble pas vous apprécier et la plus jeune, la fille qui vous avez fait sourire deux ans plus tôt ne vous lâche pas des yeux.
- Ces deux filles fait des recherche pour trouvé ce qu’il te manque comme donnée, les garçons tems pi ce n’est pas mon problème, et cette jeunes filles… il s’arrêta de parlé, l’œil écarquillait, cette fille, il n voulais pas en parlait.
- Je ferais en attendant, il est temps d’allée dormir.
- Bien.


VOILA POUR L'INSTANT

Fuuu... Je lirais ça plus tard ^^

Oulà ! Ah oui j'ai beaucoup de lecture en ce moment

Je lirais ça aujourd'hui, historie de corriger les fautes et compagnie Ainsi que ta fic, Alice J'ai vu que tu avais mis un nouveau chapitre, je ferais un commentaire et des corrections pour tes deux chapitres :)

Désolée si je ne t'ai aps envoyé la version corrigée, mais je suis tombée malade et je ne suis quasiment pas allée sur le pc pendant la semaine (juste pour voir les messages et répondre un peu sur le fofo mais sans plus).

Et puis, comme je suis en pleine lecture de fic en ce moment, bah autant continuer sur ma lancée !

J'ai entrapperçu un "Ciel et Sébastian" dans le chapitre 4

sérieux je peux me connecté que le mecredi samedi et dimanche ( en semaine je me faufile dans des intervalles de quelques secondes) De plus l' écriture que le Mercredi. Je peux pas être très actifs en plus je suis en plein mode drague mania. Si je me prend un vent tout va bien pour vous ( pas pour moi )

Lina tu as bien aprecu tu a l'oeil
crona ma dit que je recevrais surment le chpitre 5 la semaine prochaine.
zelos tempis j'essayerais de corrigé moi meme
ail sa va faire mal

Je pense que je pourrais corriger... Peut-être...
Oui, je m'appelle Viktoo Chôjuro (référence à Naruto)

si tu veux viktoosi tu veux

Boarf, pas spécialement... tu fais comme tu veux.

Mais sa na pas de saens se que tu dit

OBJECTION !
... Alors tu n'as finalement que deux neurones ?
Quelle déception...

Ça a un sens, relis bien.