Yosh, salut à tous les forumeurs, J'écrits une fic qui raconte les aventures de la nouvelle génération d'Hyrule. L'histoire se passe beaucoup de temps après Twilight Princess.
Bonne lecture.
Epilogue : La légende du héros et des deux princesses.
Il y a longtemps déjà que les héros Link, Midonna, Zelda avaient sauvé le royaume d'Hyrule des forces du mal. Tellement longtemps que leurs faits sont devenu légendes exactement comme ceux du Héros qui avant eux avait déjà œuvré pour la paix et surement comme ceux qui viendront après. Ainsi s'écrit l'Histoire de ce continent, de siècles en siècles, de troubadours en troubadours et de légendes en légendes.
" Tout était paisible dans le royaume, mais une puissance terrifiante qui sommeillait dans l'autre monde se réveilla. Très vite un roi apparut, un roi maléfique. La guerre fut déclarée et elle fut éclaire. Les attaques surprises furent sanglants et destructrices. Les esprits originels qui veillent sur notre monde furent scellé et leurs lumières s’éteignirent, privé de sa lumière Hyrule bascula dans les ténèbres. Des hordes de gobelin et autre créature de l’enfer se mirent à se déplacer dans nos plaines. La princesse en dépit de son courage et de sa vaillance fut vaincue. Tout semblaient à jamais perdu mais un jeune homme eu le courage de s'aventuré en territoire ennemi. Tantôt sous la forme d'un bretteur tantôt sous la forme d'un loup, il repoussa la mal, le traquant dans les endroits les plus dangereux, affrontant les pires créatures que le monde ait connu. Mais il triompha après de ce roi maudit à l'aide de deux princesse, celle de l'au-delà et celle d'Hyrule."
-Elle te plait mon histoire ?
-Oh oui papa ! Mais elle est un peu courte
- Rassure-toi ce n'est que le début de l'histoire, la légende des deux princesse ne se résume pas aussi facilement. Si tu es sage, je te lis la suite demain.
-La légende du Héros et des deux princesse p'pa
C'est l'heure de dormir maintenant, dit l'homme en embrassant tendrement son fils sur le front.
-Bonne nuit p'pa répondit l'enfant avant de se s'enroulé dans la couverture la tête pleine d'aventures.
Il referma la porte et se rappelant le temps où lui aussi était bercé par cette histoire. Il fut tiré de sa nostalgie par sa fille, Imna, qui elle avait passé depuis bien longtemps l’âge des contes. Elle n’était plus enfant mais pas vraiment femme.
-Encore cette vielle histoire, hein ? Ironisa la jeune fille.
-Tu sais bien que les légendes sont inspiré de fait réels.
-Mouais, fit-elle, pas entièrement convaincu, cependant je ne connais aucune personne qui ne sache pas cette histoire.
- Hier tu as fêté ton seizième anniversaire je ne peux plus te traité comme une enfant et bientôt tu voleras de tes propres ailes. Ainsi je vais te dire la vérité car tu me sembles prête à l’entendre.
-La vérité à propos de quoi ? Questionna la fille, curieuse.
-La vérité sur la mort de ta mère, elle est morte par ma faute.
-Tu m'as raconté qu'elle avait eu un accident à cheval et qu'elle avait été piétinée !
- Tu étais jeune, ton frère venait à peine d'avoir un an, ta réaction aurait pu être dramatique : tu aurais grandi dans la haine, une haine contre moi, l'armée, et presque le monde entier. Tu n’aurais vécu que pour te venger. En tant que soldat j’ai vu des guerriers ne vivre que pour cet objectif et rien de bon n’est jamais ressorti pour ces pauvres gars
-De qui suis-je sensé me vengé ?
-Ce fameux jour, ta mère a eu besoin de prendre du repos, changer d’air, sortir un peu de la cité, voir la campagne. On vous a confiez à votre tante j’ai pris mon équipement et nous étions sorti de la citée à pied. Je n'oublierai jamais le regard que nous avons échangé, le bonheur qui faisait briller ses yeux, son visage rayonnant, elle était une femme sublime. Nous étions dans un rêve qui s’est transformé en cauchemar. Les cauchemars nous terrifient mais on est heureux de voir que le monde retrouve sa normalité. Cependant si on ne se réveille pas d’un cauchemar alors celui-ci est la triste réalité.
Sur ces mots son père vieillit, toute sa morphologie laissé penser à un vieillard, posture vouté, un visage redessiné par les rides, creusé par l’inquiétude, tordu par le chagrin. Il paraissait soixante-dix ans, il en avait quarante-cinq.
-Que s’est-il passé questionna Imna compatissante envers son père mais obsédé de savoir le fin mot de cette histoire. Une partie de SON histoire.
-ILS sont arrivé répondit son père la voix vacillante
- Qui ils ?
-Les gobelins, ces démons étaient effrayant, des yeux rouges comme le sang, une peau d'un vert sale, des cornes qui brillaient d'un éclat nacrée. Ils chevauchaient des sangliers monstrueux hauts comme des hommes et fort comme des taureaux. Certains ont descendu de leur monture, et ce sont avancés vers nous. J’ai sorti mon épée mais mes mains tremblaient, ma respiration est devenu saccadé bref la peur m'a paralysé, très vite je me suis retrouvé par terre, impuissant. Ta mère voyant que je risquais de mourir me montra le courage que j'aurais dû avoir. Elle a couru le plus vite possible vers la ville pour appeler des renforts. Chose que les gobelins n'ont pas aimé du tout et ils l'ont chargé avec leurs sanglier. Elle en a abattu un avec son arc. Mais elle n’a pas eu le temps de prendre une deuxième flèche avant de …La voix du père se brisa et ses yeux s’humidifièrent à l’évocation du funeste évènement.
Imna quant à elle s’enfuit en courant hors la maison et courue en dehors de la ville. Elle s’assit sur un rocher, dans les ruines et contempla le lac Hylia. Elle savait que son père avait voulu la protéger, l’empêcher de tomber dans des gouffres profonds et rempli de solitude. Elle aussi à son école de chevalerie avait rencontré « des vengeurs » : renfermés et agressifs. Elle comprenait très bien son père, en voyant comment il s’occupait de son petit frère, elle se rendit compte qu’il avait toujours fait son maximum pour son frère et elle. Elle s’était longtemps demandé pourquoi son père était toujours un simple soldat après tant d’années de services. La réponse lui parut comme une évidence : il n’avait plus le temps. Plongée dans ses pensées la jeune fille ne remarqua presque pas le coucher du soleil et elle sursauta en découvrant la soudaine obscurité. Elle se retourna brusquement avec l’intention de rentrer au plus vite car la peur de rester seule, la nuit dans une plaine était très forte pour la jeune fille. Cependant elle se figea sur place, la bouche grande ouverte dans un cri qu’elle fut incapable de hurler.
Un loup, plus gros que le plus formidable des chiens se tenait devant elle. De plus cette bête était d’une couleur doré, émettant une lueur jaune dans la nuit, tel un feu de camp. Pour compléter ce tableau angoissant la jeune fille remarqua qu’il était borgne, son œil gauche était caché par une cicatrice. Son autre œil n’était pas plus rassurant car il brillait d’une lumière rouge. Un grognement de la bête lui fit faire la connaissance avec des crocs d’une blancheur éclatante. Elle frissonna de peur et de dégout en voyant ce démon, s’approcher lentement, la bave coulant de sa gueule immonde. Quand il se rapprocha pour l’attaquer, elle sentit son cœur rater plusieurs battements et elle se demanda si elle serai morte avant que le loup lui porte le coup fatal et elle s’évanouie. Quand elle reprit connaissance, elle était allongée, elle vérifia ses membres de son corps. Rien ne manquait, de plus elle n’avait même pas la moindre douleur. De sa main elle explora la surface du sol, il était incroyablement lisse comme un morceau de métal bien aiguisé. Néanmoins il n’avait pas de la froideur caractéristique du métal. Le sol était étrangement tiède et Imna , les yeux fermé eu l’impression qu’il rayonnait. Lorsqu’elle ouvrit les yeux son étrange impression se confirma. Du support sur lequel elle était allongée émanait une douce lumière. Le sol était brillant comme recouvert par une pellicule de neige. Elle se demanda où elle avait atterri, peut-être était-elle au paradis ? Elle se releva et s’étira comme si elle venait de sortir d’une simple sieste. Devant elle et à perte de vue, il n’y avait rien. Elle fit fonctionner sa mémoire et se rappela du loup qu’elle avait vu juste avant de « s’évanouir ». Prise d’un horrible doute et d’un mauvais pressentiment, elle se retourna. Elle revue avec effroi la silhouette sauvage et avant qu’elle n’est pu faire le moindre geste, le loup poussa un hurlement. A la place de la bête se tenait maintenant un spectre. Il portait une armure rouillé, avec un bouclier recouvert de lierre, un casque ayant la forme d’une croix. Son corps mise à part quelques côtes était totalement transparent. Cependant il se tenait avec une certaine rigidité, comme si ces muscles censé être décomposé et inactif avait prise sur le squelette. Son visage était aussi effroyable que la bête dont il avait un point commun, l’œil gauche était lui aussi crevé.
Du geste rapide d’un guerrier, il sortit son épée et adopta une position de garde. Elle se releva mais ses jambes tremblantes eurent du mal à la maintenir debout. Ses mains que la peur rendaient maladroite et nerveuse durent si reprendre à plusieurs fois pour simplement sortir l’épée de son fourreau. Elle fonça vers le fantôme totalement apeurée. Plutôt que de supporté une telle angoisse, elle préféra jouer quitte ou double. Elle porta un coup de toutes ses forces. Le coup n’égratigna même pas le bouclier. Le spectre après avoir paré, donna un violent coup de bouclier à la jeune fille, celle-ci s’envola presque et retomba sur le dos. Un cliquetis de métal lui indiqua que son adversaire se rapprochait d’elle en courant. Il prit son élan et fit un saut incroyable. Elle vit impuissante qu’il retombait sur elle, la pointe de son épée dirigé droit sur son ventre. Quand elle se sentit embrochée, elle poussa un pitoyable cri d’agonie, puis elle eut une sensation plus horrible encore quand le guerrier lui retira la lame du ventre.
-Qui es-tu, jeune fille ? La force ne sert à rien sans courage ; mais le courage sans la force n’est rien. Toi qui ne possède aucune de ces qualités, tu n’as pas plus de valeur que ces lâches soldats d’Hyrule, tremblant dans leurs bottes n’ayant aucun sens du devoir, pleutre restant enfermé dans leur citadelle. Je parcours ce monde à la recherche d’un héros, je me suis souvent trompé mais jamais à ce point-là. Puisque malgré tout tu es une bretteuse laisse-moi te donner ce conseil : Une lame sans courage est une lame impuissante.
[u]
Bonne lecture.
Epilogue : La légende du héros et des deux princesses.
Il y a longtemps déjà que les héros Link, Midonna, Zelda avaient sauvé le royaume d'Hyrule des forces du mal. Tellement longtemps que leurs faits sont devenu légendes exactement comme ceux du Héros qui avant eux avait déjà œuvré pour la paix et surement comme ceux qui viendront après. Ainsi s'écrit l'Histoire de ce continent, de siècles en siècles, de troubadours en troubadours et de légendes en légendes.
" Tout était paisible dans le royaume, mais une puissance terrifiante qui sommeillait dans l'autre monde se réveilla. Très vite un roi apparut, un roi maléfique. La guerre fut déclarée et elle fut éclaire. Les attaques surprises furent sanglants et destructrices. Les esprits originels qui veillent sur notre monde furent scellé et leurs lumières s’éteignirent, privé de sa lumière Hyrule bascula dans les ténèbres. Des hordes de gobelin et autre créature de l’enfer se mirent à se déplacer dans nos plaines. La princesse en dépit de son courage et de sa vaillance fut vaincue. Tout semblaient à jamais perdu mais un jeune homme eu le courage de s'aventuré en territoire ennemi. Tantôt sous la forme d'un bretteur tantôt sous la forme d'un loup, il repoussa la mal, le traquant dans les endroits les plus dangereux, affrontant les pires créatures que le monde ait connu. Mais il triompha après de ce roi maudit à l'aide de deux princesse, celle de l'au-delà et celle d'Hyrule."
-Elle te plait mon histoire ?
-Oh oui papa ! Mais elle est un peu courte
- Rassure-toi ce n'est que le début de l'histoire, la légende des deux princesse ne se résume pas aussi facilement. Si tu es sage, je te lis la suite demain.
-La légende du Héros et des deux princesse p'pa
C'est l'heure de dormir maintenant, dit l'homme en embrassant tendrement son fils sur le front.
-Bonne nuit p'pa répondit l'enfant avant de se s'enroulé dans la couverture la tête pleine d'aventures.
Il referma la porte et se rappelant le temps où lui aussi était bercé par cette histoire. Il fut tiré de sa nostalgie par sa fille, Imna, qui elle avait passé depuis bien longtemps l’âge des contes. Elle n’était plus enfant mais pas vraiment femme.
-Encore cette vielle histoire, hein ? Ironisa la jeune fille.
-Tu sais bien que les légendes sont inspiré de fait réels.
-Mouais, fit-elle, pas entièrement convaincu, cependant je ne connais aucune personne qui ne sache pas cette histoire.
- Hier tu as fêté ton seizième anniversaire je ne peux plus te traité comme une enfant et bientôt tu voleras de tes propres ailes. Ainsi je vais te dire la vérité car tu me sembles prête à l’entendre.
-La vérité à propos de quoi ? Questionna la fille, curieuse.
-La vérité sur la mort de ta mère, elle est morte par ma faute.
-Tu m'as raconté qu'elle avait eu un accident à cheval et qu'elle avait été piétinée !
- Tu étais jeune, ton frère venait à peine d'avoir un an, ta réaction aurait pu être dramatique : tu aurais grandi dans la haine, une haine contre moi, l'armée, et presque le monde entier. Tu n’aurais vécu que pour te venger. En tant que soldat j’ai vu des guerriers ne vivre que pour cet objectif et rien de bon n’est jamais ressorti pour ces pauvres gars
-De qui suis-je sensé me vengé ?
-Ce fameux jour, ta mère a eu besoin de prendre du repos, changer d’air, sortir un peu de la cité, voir la campagne. On vous a confiez à votre tante j’ai pris mon équipement et nous étions sorti de la citée à pied. Je n'oublierai jamais le regard que nous avons échangé, le bonheur qui faisait briller ses yeux, son visage rayonnant, elle était une femme sublime. Nous étions dans un rêve qui s’est transformé en cauchemar. Les cauchemars nous terrifient mais on est heureux de voir que le monde retrouve sa normalité. Cependant si on ne se réveille pas d’un cauchemar alors celui-ci est la triste réalité.
Sur ces mots son père vieillit, toute sa morphologie laissé penser à un vieillard, posture vouté, un visage redessiné par les rides, creusé par l’inquiétude, tordu par le chagrin. Il paraissait soixante-dix ans, il en avait quarante-cinq.
-Que s’est-il passé questionna Imna compatissante envers son père mais obsédé de savoir le fin mot de cette histoire. Une partie de SON histoire.
-ILS sont arrivé répondit son père la voix vacillante
- Qui ils ?
-Les gobelins, ces démons étaient effrayant, des yeux rouges comme le sang, une peau d'un vert sale, des cornes qui brillaient d'un éclat nacrée. Ils chevauchaient des sangliers monstrueux hauts comme des hommes et fort comme des taureaux. Certains ont descendu de leur monture, et ce sont avancés vers nous. J’ai sorti mon épée mais mes mains tremblaient, ma respiration est devenu saccadé bref la peur m'a paralysé, très vite je me suis retrouvé par terre, impuissant. Ta mère voyant que je risquais de mourir me montra le courage que j'aurais dû avoir. Elle a couru le plus vite possible vers la ville pour appeler des renforts. Chose que les gobelins n'ont pas aimé du tout et ils l'ont chargé avec leurs sanglier. Elle en a abattu un avec son arc. Mais elle n’a pas eu le temps de prendre une deuxième flèche avant de …La voix du père se brisa et ses yeux s’humidifièrent à l’évocation du funeste évènement.
Imna quant à elle s’enfuit en courant hors la maison et courue en dehors de la ville. Elle s’assit sur un rocher, dans les ruines et contempla le lac Hylia. Elle savait que son père avait voulu la protéger, l’empêcher de tomber dans des gouffres profonds et rempli de solitude. Elle aussi à son école de chevalerie avait rencontré « des vengeurs » : renfermés et agressifs. Elle comprenait très bien son père, en voyant comment il s’occupait de son petit frère, elle se rendit compte qu’il avait toujours fait son maximum pour son frère et elle. Elle s’était longtemps demandé pourquoi son père était toujours un simple soldat après tant d’années de services. La réponse lui parut comme une évidence : il n’avait plus le temps. Plongée dans ses pensées la jeune fille ne remarqua presque pas le coucher du soleil et elle sursauta en découvrant la soudaine obscurité. Elle se retourna brusquement avec l’intention de rentrer au plus vite car la peur de rester seule, la nuit dans une plaine était très forte pour la jeune fille. Cependant elle se figea sur place, la bouche grande ouverte dans un cri qu’elle fut incapable de hurler.
Un loup, plus gros que le plus formidable des chiens se tenait devant elle. De plus cette bête était d’une couleur doré, émettant une lueur jaune dans la nuit, tel un feu de camp. Pour compléter ce tableau angoissant la jeune fille remarqua qu’il était borgne, son œil gauche était caché par une cicatrice. Son autre œil n’était pas plus rassurant car il brillait d’une lumière rouge. Un grognement de la bête lui fit faire la connaissance avec des crocs d’une blancheur éclatante. Elle frissonna de peur et de dégout en voyant ce démon, s’approcher lentement, la bave coulant de sa gueule immonde. Quand il se rapprocha pour l’attaquer, elle sentit son cœur rater plusieurs battements et elle se demanda si elle serai morte avant que le loup lui porte le coup fatal et elle s’évanouie. Quand elle reprit connaissance, elle était allongée, elle vérifia ses membres de son corps. Rien ne manquait, de plus elle n’avait même pas la moindre douleur. De sa main elle explora la surface du sol, il était incroyablement lisse comme un morceau de métal bien aiguisé. Néanmoins il n’avait pas de la froideur caractéristique du métal. Le sol était étrangement tiède et Imna , les yeux fermé eu l’impression qu’il rayonnait. Lorsqu’elle ouvrit les yeux son étrange impression se confirma. Du support sur lequel elle était allongée émanait une douce lumière. Le sol était brillant comme recouvert par une pellicule de neige. Elle se demanda où elle avait atterri, peut-être était-elle au paradis ? Elle se releva et s’étira comme si elle venait de sortir d’une simple sieste. Devant elle et à perte de vue, il n’y avait rien. Elle fit fonctionner sa mémoire et se rappela du loup qu’elle avait vu juste avant de « s’évanouir ». Prise d’un horrible doute et d’un mauvais pressentiment, elle se retourna. Elle revue avec effroi la silhouette sauvage et avant qu’elle n’est pu faire le moindre geste, le loup poussa un hurlement. A la place de la bête se tenait maintenant un spectre. Il portait une armure rouillé, avec un bouclier recouvert de lierre, un casque ayant la forme d’une croix. Son corps mise à part quelques côtes était totalement transparent. Cependant il se tenait avec une certaine rigidité, comme si ces muscles censé être décomposé et inactif avait prise sur le squelette. Son visage était aussi effroyable que la bête dont il avait un point commun, l’œil gauche était lui aussi crevé.
Du geste rapide d’un guerrier, il sortit son épée et adopta une position de garde. Elle se releva mais ses jambes tremblantes eurent du mal à la maintenir debout. Ses mains que la peur rendaient maladroite et nerveuse durent si reprendre à plusieurs fois pour simplement sortir l’épée de son fourreau. Elle fonça vers le fantôme totalement apeurée. Plutôt que de supporté une telle angoisse, elle préféra jouer quitte ou double. Elle porta un coup de toutes ses forces. Le coup n’égratigna même pas le bouclier. Le spectre après avoir paré, donna un violent coup de bouclier à la jeune fille, celle-ci s’envola presque et retomba sur le dos. Un cliquetis de métal lui indiqua que son adversaire se rapprochait d’elle en courant. Il prit son élan et fit un saut incroyable. Elle vit impuissante qu’il retombait sur elle, la pointe de son épée dirigé droit sur son ventre. Quand elle se sentit embrochée, elle poussa un pitoyable cri d’agonie, puis elle eut une sensation plus horrible encore quand le guerrier lui retira la lame du ventre.
-Qui es-tu, jeune fille ? La force ne sert à rien sans courage ; mais le courage sans la force n’est rien. Toi qui ne possède aucune de ces qualités, tu n’as pas plus de valeur que ces lâches soldats d’Hyrule, tremblant dans leurs bottes n’ayant aucun sens du devoir, pleutre restant enfermé dans leur citadelle. Je parcours ce monde à la recherche d’un héros, je me suis souvent trompé mais jamais à ce point-là. Puisque malgré tout tu es une bretteuse laisse-moi te donner ce conseil : Une lame sans courage est une lame impuissante.
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