Atention CHAPITRE 5
mais elle as que ca a faire de ces journée ?
oupss elle est en Antartic.
5. Un cadeau qui en cache un autre.
Le lendemain matin, tout le monde dormait quand Sébastian alla réveille son jeune maitre.
- Ha tu trouvait les renseignement qu’il te manquait, demanda l’enfant quand il fait habiller.
- Oui, dans les enfers il y a une prophétie, au départ c’est les humain qui la transmettait, mais elle a était oublié. Elle est appelait, « prophéties oublié » ou « La prophétie des amies jumelles ». Ce serais l’histoire de deux filles qui sont née le même jours avec des visage au même trait. L’un aurais une sœur. Elles serais toutes les trois d’autait de pouvoir, mais seul des collier peuvent réveiller c’est pouvoir.
- Oui je vois, trouve c’est collier, ce futur jeu pourrais être amusant. Vas.
- Yes, my lord.
Il partit en marchant tranquillement. Ciel alla dans son bureau s’occupé de c’est affaire. Alors que le garçon réfléchissait, un homme arriva dans la pièce, vêtu d’un tablier, c’est le cuisinier.
- Maître, interpella l’homme, Sébastian n’est pas la est il ne ma pas dit si je devais faire le repas. Je fait quoi ?
- Si il ne t’as rien dit sais surement par ce que il seras la a temps donc tu ne fait rien.
L’homme repartit dessus. Il vit arrivé vers le bureau une jeune fille blonde. Il alla à sa rencontre,
- Que puis-je faite pour vous ma demoiselle ?
- Ha bonjour ? Mes amis ne sont pas réveillai ? Je les cherche.
- Je pense que vous êtes une de nos invité, ils sont dans la grande salle je vous y conduit.
- Merci.
L’homme entra dans une grande salle, un divan, un grand fauteuil, une table et des tableau meublait les mures et la salle. Hämonï remarcia le cuisinier et alla rejoindre ces amis. Ils étaient tous la. Elle s’assis entre sa sœur et son amie. En face, les deux garçons parlaient entre eux. Ils semblaient se disputaient. Hämonï en profita pour prendre sa sœur appart pour lui parlait laissant seul Meiyo qui s’endormait presque.
- Mais dit-moi jeune fille, commença Hämonï, tu ne serais pas amoureuse ?
- Hämo ! Cria Tenshi qui rougissait déjà.
- Alors ça sa veux tout dire, alors c’est lequel ? Ne dit pas personne je ne te croirait pas.
- Et bien … Je ne sais pas trop.
- Mais enfin ! Tu le sans bien non ?
- Mais je sais pas, moi ! Je n’ai jamais était amoureuse.
- Alors pense ! Ferme les yeux, pense a Arek.
Tenshi obéit, sa sœur posa la main sur le cœur de la fille, sentant ainsi c’est battement.
- Ce n’est pas lui. Pense à Sedo.
Cette fois la battement ce fit un peu plus rapide, plus doux, et plus distin.
- Pense à ciel.
Le battement redevins un peu normal, mais très rapide.
- Mais ma parole tu as peur de Ciel ! S’exclama d’un seul coup Hämonï.
- Et bien quoi, et toi alors ?
- Moi ? La fille rougit, puis elle reprit, je pense que c’est Sedo ton élu, mais je ne suis pas sur.
- Quoi ? As ton tour maintenant.
Elle reproduisit le même schéma en sens inverse, mais Tenshi ne senté aucun changement de battement de cœur. Tenshi fut dessus, elle aurais aimé ne pas être la seule dans son cas, mais bon, que pouvait-elle faire ? Attendre. Trop long. Demandait à Meiyo, elle été trop timide pour sa. Donc elle ne fit rien, mise appart demander à sa sœur de ne rien dire.
Quand elles retournèrent auprès des autres tous le monde les regardait. Tenshi regarda Sedo, les yeux pétillant, elle resta debout perdu dans c’est pensait, quand Meiyo lui demanda de s’assoir.
Ils restèrent là, tout les cinq, à attendre que le temps passe, en bavardant de chose inutile. Il était presque midi quand le majordome invita les enfants à allez mangé avec Ciel. Ils entrèrent dans un pièce plus éclairait que les autres, au grande fenêtre, et des miroir collait au mure.
Pendant le repas, Ciel commença à parlait.
- Dans ma famille, un tradition réside, chaque dame passant un séjour au manoir doit repartir avec un cadeau. Je respecte chacun des traditions alors voila.
Sébastian approcha des filles leurs donnant un paquet cadeau. Elles les ouvrit ensembles. Les deux garçon les regardait sourire comme des ahuris ce qui embêta surtout Sedorikku. Sébastian leurs avait donné les présents sans regardait lequel, il voulait faire agirent le hasard.
Hämonï avait eu un pendentif en or, un symbole du soleil, Tenshi eu en espèce de bille grise et Meiyo eu un croissant de lune.
- Merci pour les cadeaux, il sont merveilleux dit poliment Meiyo.
- C’est une tradition je ne le fait pas par plaisir, la cassa Ciel.
Elle se replaça vexé. Sébastian s’avança vers son maitre, ils chuchotèrent et Sébastian sortit de la pièce, quand il réapparût il alla voir Sedorikku et Arekusanda. Il leur donna, toujours au pif, une épée chacun. Celle que reçu Sedorikku avait un pommeau argenté avec une bille gris au milieu. Celle de Arekusanda été en or et avait un motif et soleil. Ils les accrochèrent à leur ceinture et fit signe de remercîment de la tête au comte, qui n’en tenu pas conte, il semblait boudé.
- Ma chère fiancé, mademoiselle Elisabeth vient cette après-midi. Je peux vous demandé de l’occupé le temps que je finis ce que j’ai à faire ? Demanda-t-il a la fin du copieux repas.
- Avec plaisir, répondu Meiyo.
Puis il sortit de la salle, Sébastian le suivi. Les présent des enfants semblait tellement précieux qu’il décidèrent de ne jamais s’en séparé, ce qui arrangé bien le comte et son majordome.
Vers deux heure de l’après-midi, Elisabeth arriva, les six personnages parlèrent une bonne partit de la journée. Quand Ciel apparu a lautre bout dun grand jardin, Elisabeth couru vers lui, elle se jeta a son cou.
- Ciel ! S’exclama-t-elle. Je voit que tu as des invités et que tu travaille toujours au temps. Mais bon ce soir ma mère organise une grande réseption, vous êtes tous invités.
- Hein ?! Mais le pays est en guerre, elle ne pourrais pas plutôt trouvait de quoi aidait notre reine ?
- Mais non c’est justement pour rassemblait tout les comtes, de plus il y auras la reine.
Les yeux de Ciel s’écarquillèrent.
- Et la comtesse Seika No est invité ?
- Oui.
- Bien je viendrais.
- Tu pourras mettre l’ensemble bleu que je t’es offert ?
- Oui.
Il rejoignirent les cinq hôtes qui les attendait. Tenshi qui penser voir un sourire sur le visage du garçon en voyant sa fiancé fût bien déçu de voir qu’il paraissait ni contente, ni triste, son expression ne changé pas. Ils passèrent un après midi tranquille puis quand Elisabeth repartit, Sébastian donna au trois filles des robes de bal somptueuses, pour les garçon des tenus richement décoré. Ils les remercièrent et ce changèrent. Les garçons gardèrent a leurs tailles les épées, et les filles a leurs cou les pendentifs.
Quand ils arrivèrent ensembles au manoir de la tente de Ciel, que les danse avait commencé, Elisabeth arriva et embarqua Ciel sur la piste de danse, le majordome fût amusé. Tenshi fût invité a dansé pas Sedorikku, se qui l’enfanta énormément. Hämonï par Arekusanda. Seul Meiyo restait seul sur le côté regardant c’est amis s’amusé. Entre deux chansons, Ciel vient voir son majordome, toujours habillé de noir, comme il vit que Meiyo été a son côté et que pour un comtesse, restait seul ne se fessais pas, il demanda discrètement à son majordome dedans au moins une ou deux danse avec la jeune fille. Il s’exécuta et dansa avec Meiyo.
Pendent les danses, se qui devait arrivé arriva, Sedorikku qui dansé gentiment avec Tenshi, se posèrent dans un coin, pour ce reposé. Ils discutèrent, observait par Hämonï. Elle les regardait se parlait tendrement, elle attendait sans rien dire que se qu’il devait ce passé ce passe. Sedorikku replaça doucement une mèche de cheveux de la demoiselle, il s’approcha doucement. Tenshi rougit. Hämonï rigolait. Elle dit a Arekusanda de s’arrêtait pour lui montrait la scène. Il rigola. Sedorikku s’approcha d’avantage, puis Tenshi et lui s’embrassèrent sous le regard amusé de leurs frère.
- Et bien, c’est deux la ne perde pas de temps, ricana doucement Arekusanda.
- Oui mais je suis heureuse pour ma petite sœur, dit Hämonï les yeux brillant.
Ils ne parlèrent pas plus longtemps. Il allèrent rejoindre leurs amis.
- Vous n’auriez pas vus Meiyo? Demanda Hämonï.
- Non, elle doit être en train de dansé, répondu Tenshi toute rouge.
Ils la trouvèrent parmi les danseurs, avec Sébastian, son cavalier. Hämonï rigola. Son amie ne semblait pas ce préoccupé des prétendant qui l’attendait. Elle dansé en souriant avec le beau diable habillé en noir, son sourire sournois au visage. Ils la fixés tous, perdu dans leurs pensé. Il repartir sur la piste de danse, ou ils retrouvèrent Meiyo et Sébastian, Lizzie et Ciel, et des tas d’autre danseurs. Mais pas de reine, Ciel ne sens aperçu même pas. Quand les douze coup de minuit sonnèrent, les six personnes s’en allèrent, laissant Lizzie seule.
Voila